Il n'y a pas d'âge pour se rebeller
Alex, chanteuse dont la carrière peine à décoller, accepte un drôle de job : faire chanter des comptines à une chorale de retraités. Elle découvre un groupe de séniors ingérables qui ne rêve que d’une chose, chanter du rock ! La mission d’Alex va s’avérer plus compliquée que prévu avec la plus improbable des chorales…
Commentaires (3)
Toutes les histoires vraies ne font pas nécessairement de bons films. La preuve ici où, je pense, la part romancée tient le haut de pavé. On aligne les clichés avec beaucoup d'invraisemblances.
Se laisse regarder. J'ai pas aimé le personnage de Yves Lecoq. Dans toutes les scènes de chant, il fait le clown. On dirait même au début qu'il s'est incrusté incognito au tournage. Les chansons sont bien sympa aussi. Et j'ai été surprise sur l'identité de la personne qui est morte.
Je ne sais pas comment ça s’est passé dans la réalité mais là, ça fait super cliché maladroit… Déjà, avec ce type qui veut mordicus tout sauf du rock. Dès le départ, j’ai eu du mal avec ça… J’ai dû louper un truc, je ne sais pas s’il est de la ville, de l’asso, de je ne sais où, mais vouloir envers et contre tout interdire le rock alors que la prof en propose et qu’il en a déjà perdu 4, que tous les participants veulent en faire, je ne marche pas… C’est vraiment pour que le groupe se crée dans la rébellion et qu’on prenne parti pour eux, mais c’est tellement cliché et caricatural… Comme tout le reste, finalement, le gamin relou qui en veut à sa mère d’être pas normale jusqu’à ce qu’elle devienne normale, la femme qui n’a pas de boulot et se lance dans l’aventure, la copine qui organise le concert de Metallica où on passe crème… Dans le générique, c’est marqué que le projet Salt and Pepper devait durer