Men couldn't resist her... not even an Emperor!
Lors d'une visite dans un pensionnat, le tsar Alexandre II rencontre une jeune étudiante rebelle et se prend d'affection pour elle. Les sentiments sont partagés, Katia devient sa maîtresse. Influencé par la jeune fille, Alexandre prépare des réformes qui le rendent impopulaire auprès de ses sujets les plus privilégiés.
Commentaires (4)
Quand on confond amour et idolâtrie. Romantisation des enjeux pour faire venir le public. Au 21ème siècle, l'intrigue pseudo-amoureuse gratte mais à recontextualiser dans le grand patriarcat social, on est bien dans le Michel Strogoff de Jules Verne. Voir ce film pendant l'invasion de l'Ukraine rajoute une ligne de lecture aigre-douce macabre... Quand on confond changement et évolution.
Vision française de 1960 d’événements russes de 1860 à 1880… ça laisse de la place aux commentaires 🤓. Une première moitié de bluette entre un tsar et une fraîche orpheline de noblesse désargentée de 30 ans sa cadette (mais que fait Me too ?), moitié complètement niaise et surannée. Une deuxième moitié plus politique, plus intéressante aussi, mais qui romantise le rôle de la princesse et les actions révolutionnaires de l’époque sur le même plan. Les motivations des dissidents sont autant du côté de la folie que l’amouuuuur impossible de Katia. Très léger comme analyse pour un film qui se veut historique.