Ji Eun trouve un homme, Kang In Ho, dans une boîte en face de chez elle et l'accueille.
Comme il ne veut plus la quitter, elle lui dit en plaisantant qu'elle veut le garder en tant qu'animal de compagnie car l'homme lui rappelle son chien d'enfance. Contre toute attente il accepte et elle se voit donc obliger de lui offrir le gîte et le couvert, en échange de l'amour et de la loyauté inconditionnels que l'on peut attendre d'un animal de compagnie. Elle établit aussi la règle d'une relation platonique.
Plus tard, Ji Eun découvre que l'homme est un prodige de la danse.
Des complications surviennent lorsque son ancienne flamme de l'université apparaît.
Commentaires (2)
Ce Kimi wa petto de 2017 est bien plus long que la version de 2003 (4h30 de plus - 16 contre 10 épisodes de 45 min.) et creuse davantage les récits périphériques du manga josei, pour un résultat clairement plus kawai que subversif. Nettement moins goofy que l’adaptation coréenne en film qui n’a gardé que les aspects comiques et la romance pour faire court. En termes de second degré et de profondeur, Koyuki et Matsumoto Jun (2003) sont indetrônables. Cette version a eu le mérite de mettre en avant le mimi Shison Jun qui a crevé l’écran depuis dans Junichi.
Les versions coréenne et japonaise sont mélangées, oups Betaseries ? J'ai aimé la version japonaise malgré l'oubli d'une scène mythique du manga, j'ai dis le sauvetage furieux de Momo !