Autrefois, les vampires et les humains vivaient en harmonie.
Nous suivons le quotidien de Momo, une jeune fille voyageant à travers le monde aux côtés de Fine, la reine des vampires.
Ensemble, elles sont à la recherche du « Paradis » un endroit unique où elles pourront vivre en paix. (source: animotaku.fr)
Commentaires (4)
Comment c'est possible de s'attacher autant a des personnages fictifs en du peu de temps ? Un chef-d'oeuvre
L'animation est une dinguerie, ça fait plaisir de voir autant de persos féminins au centre de l'intrigue (il y a seulement 2 persos masculins vraiment importants, l'oncle de Momo et le frère/futur king des vampires de Fine) et le concept de base est vraiment trop intrigant et cool. Par contre : bcp trop court, on dirait plus un film qu'une série ; trop de potentiel pas exploité (au niveau du worldbuilding, du plot général, des persos, etc) ; du queerbaiting ? enfin, la relation entre Momo & Fine est vraiment très queer-coded, mais en même temps Fine est une vampire vieille d'on-ne-sait-pas-combien-d'années et Momo est une ado (entre 14 et 18 ans, je dirai ?) idéaliste - trope de la vampire prédatrice, on a déjà vu Carmilla et c'est so 19e siècle - et SPOILERS Fine meurt à la fin, donc tout ça pour ça ? Les deux protagonistes sont clairement des lesbiennes (Momo avec son amie d'enfance ; Fine avec sa previous lover qui ressemble étrangement à Momo), mais c'est dommage que toutes leurs histoires d'amour se terminent de manière tragique. Okay, on a compris, on peut avoir un peu d'espoir maintenant ? C'est beau la tragédie, mais y'a quand même 3 relations wlw dans les 5 épisodes (de 20 min) de la série, et les 3 relations se terminent avec une des deux qui meurt tragiquement, c'est lourd. Bref, bon anime, bon concept, des larmes pas forcément nécessaires, mais en même temps j'étais surprise de voir un anime japonais être aussi ouvertement queer (y'avait forcément un piège derrière tout ça).
Déçue. Beaucoup trop court, l'univers est au final creux car on n'apprend rien de concret sur tout ça, on reste sur sa faim avec trop de questions (encore que, en vrai, c'est pas un mal, car... non, pas dingue quoi...)
J'ai bien aimé