- Pays France
- Genres Crime, Drame, Mini-série
- Durée d’un épisode 44 minutes
- Durée totale 4 heures 24 minutes
- Statut En cours
- Chaîne France 2
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Showrunner
Pascal Fontanille
Françoise Charpiat
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Dernière mise à jour
23 février 2024 - 05:31
sur 11 bases de données -
Vidéo : Tout cela je te le donnerai
Alors qu’Aymeric vient d’être retrouvé mort en Provence, son mari, Manuel, un auteur de renom, est pris de doutes quant à la cause de ce décès. Alors que tout semblait aller pour le mieux, Manuel soupçonne un assassinat. Tandis que Manuel reprend le vaste domaine viticole et le château familial que lui lègue Aymeric, il s’embarque dans une enquête à la recherche de la vérité. C’est avec l’aide de Richard, un gendarme revêche, qu’il va plonger dans les arcanes de cette puissante famille et exhumer les secrets du passé.
Avec Télé 7 jours, découvrez le programme qui fait l’actu à la télévision. Mercredi 7 février, France 2 lance à partir de 21h10 la série en six épisodes Tout cela je te donnerai. David Kammenos incarne Manuel Ortigosa, un écrivain qui perd subitement son mari Aymeric (Alexis Loret) dans un accident de voiture. Accompagné de Richard, un gendarme à la retraite bourru campé par Bruno Solo, Manuel va entreprendre une enquête sur les circonstances du drame, et découvrir que l’amour da sa vie lui avait caché bien des secrets de famille.
« J’ai aimé le fait que le personnage principal soit homosexuel, sans que ce ne soit pour autant un sujet » confie David Kammenos à Télé 7 jours. « Pour moi, la modernité est là. On a passé un cap, et on ne peut pas revenir en arrière. J’ai aussi été touché par la manière dont on parle du deuil… »
A propos de la similitude entre cette série et les sagas d’été de la grande époque, le comédien se souvient : « Il y a quelque chose de l’ordre de l’enfance ou de l’adolescence, dans mon cas. Quand j’y pense, je me souviens aussitôt des petits biscuits que je mangeais en les regardant. Avec cette mini-série, on est sur des codes similaires, mais que l’on finit par casser. Notamment grâce à la pudeur de Nicolas Guicheteau, le réalisateur, qui mêle une masculinité dans l’apparence et une grande féminité dans la pensée. C’est un être profondément moderne »
