La légalisation et l'âge d'or de l'industrie pornographique à Time Square, New York, des années 70 jusqu'au milieu des années 80.
Validé, c’est l’histoire de l’ascension d’un jeune rappeur, Apash, adoubé par un pilier du milieu, Mastard, avant qu’une rivalité les oppose. Rendez-vous sur notre critique garantie sans spoiler !
On commence par Entourage, l’inspiration principale de Validé selon Frank Gastambide. La série raconte cette fois l’histoire d’un jeune acteur voulant percer à Hollywood, accompagné de sa bande d’amis. Une tonne de stars jouant leur propre rôle et une vision acerbe de l’industrie du cinéma, Entourage a été l’inspiration principale de Frank Gastambide pour Validé. La série est disponible sur OCS.
On vous conseille aussi The Deuce, la série de David Simon, créateur de The Wire. Si de prime abord, l’essor de l’industrie pornographique dans les années 70 à New York ne semble pas avoir de rapport avec Validé, détrompez-vous. L’histoire de Lori Madison qui tente de s’extirper de l’emprise de son proxénète pour faire carrière dans les films pour adulte fait totalement écho au héros de Validé, dont le début de la carrière sera court-circuité par ses relations dans le trafic de drogue parisien. La série est disponible sur OCS.
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Commentaires (60)
Série magistrale tout simplement
Série intéressante qui sort des séries ordinaires ! Du HBO qui, a l’instar de The Wire, nous immerge dans les quartiers New Yorkais avec ce réalisme et cette ambiance incroyable.
Encore une bijou signé HBO 👍 tout y est l’ambiance, le casting, la musique (omniprésente et ça commence avec ses génériques) et les personnages tour à tour énervants, émouvants et surtout très attachants ❤️ Et puis il y a New York cette ville qui fait rêver le monde entier 😍👍
Du grand Simon !
Nouveau fait d'armes de David Simon... nouvelle gifle et pas du genre timide. Remplacez la drogue par une bonne pincée de sexe en guise de denrée addictive et c'est parti pour un nouveau tour de montagnes russes dans les tréfonds malades de la nature humaine. Inutile de préciser qu'on n'est pas chez Disney, le wagon de tête n'est pas aux mains d'une gentille souris, mais bel et bien entre les grosses paluches peu amicales d'un gros rat curieux auquel rien ne fait peur : mesdames, mesdemoiselles, messieurs, vous l'avez demandé, votre aller simple en première classe pour les chambres miteuses où 40 pièces suffisent à capturer, pour 5 minutes, l'âme d'une butineuse résignée à se faire malmener par un bienfaiteur enrobé d'Hermine, est avancé. Pas la peine de boucler votre ceinture, il serait dommage de ne pas laisser son tarin frapper le pare-brise avec violence à l'arrivée au terminus. C'était déjà la marque de fabrique de The Corner, The Wire ou Treme, la grande force de The Deuce, c'est son ambiance générale, son travail de reconstitution d'un New York sauce seventies cradasse. On y devine un effort de documentation évident, tous ceux qui se sont renseignés sur l'envers du décor des aventures de McNulty le savent : David Simon n'est pas homme à se laisser aller à la facilité. Alors quand, en guise de copain de plume, il se choisit le sieur Pelecanos, les dialogues se font savoureux, les références cinématographiques ou musicales pleuvent, l'alchimie y est : The Deuce se vit à 300% pendant 3 saisons, vous métamorphosant en un habitant discret du quartier auquel tout le monde se confie. Chaque personnage est dosé de manière à ne pas dévorer les autres ; l'intérêt de The Deuce n'est pas de conter un destin en particulier, mais de faire un état des lieux d'une période charnière des États Unis qui a conduit à la popularisation de la pornographie. Un bilan sans réelle prise de position, très noir évidemment (le Deuce n'est pas le quartier où naissent les princesses de nos livres d'enfants), mais pas non plus totalement dépourvu d'espoir: certes la vie est rude dans ces blocs qui cachent tous types de trafics, les corps s'y entassent dans l'indifférence générale, mais certaines âmes réussissent à s'en évader, et celles qui sont condamnées à y rester ne perdent pas leur humanité pour autant. Ce sont les sensibilités combinées de ses auteurs qui permettent à The Deuce de rester en équilibre stable entre devoir de mémoire et discours critique. Une intention qui semble paradoxale, puisqu'en opposition avec la nature intime des différentes trames en présence, mais il n'en est rien. Ce recul leur permet d'évoquer tout un tas de thématiques particulièrement sujettes à la polémique —tous les discours sur la perception de l'homosexualité, mais aussi, et c'est plus subtil, sur la place, et l'importance, du mariage ou en tout cas, d'une vie dite traditionnelle— sans pour autant donner l'impression de marteler un message moralisateur. The Deuce, c'est tout l'esprit de l'âge d'or HBO à son meilleur. Une saison 3 qui a les couilles de tout conclure, des acteurs au top, une photo belle mais brute, une bande son de dingue et surtout, des personnages touchants car écrits, qu'ils soient ou non directement moteurs de l'intrigue. Le traitement qui est fait dans cette ultime saison de l'émergence du SIDA et ce qu'il a occasionné est à la hauteur, sinon bien meilleur, que tous les films qui se sont attaqués au sujet. Un peu partagé sur le final en revanche. Je ne vais pas cacher qu'il m'a ému et pourtant quand j'ai capté son concept, il m'a gonflé. Mais j'ai fini le dernier épisode avec les yeux rouges et la fierté du mâle générique qui se refuse de pigner quand il est en sale posture. Un petit air de 6 feet under (certains lui reprocheront sans doute d'en récupérer la mécanique finale) qui n'a pas été pour me déplaire. Damn, que je suis triste de quitter le Deuce et toutes les sales tronches qui l'animent. Grande série pour moi, que je trouve un peu boudée, et je ne capte pas trop pourquoi.
Un petit bijou,comme souvent chez HBO
Excellente série qui relate la période des années 70
Excellent!!
Vraiment génial. Un bijou précieux cette serie. Une saison 3 réussie et magnifiquement bien terminée. On est plongé dans les années 70, du concret, du vrai. C'est rare mais je suis triste d'avoir terminé cette serie.
Quand je vois que david simon est dèrriere une série,ben,direct,j'vais la regarder.Je le redis:david simon est un génie.Maintenant,pour the deuce,je suis partager:c'est indéniable que la série est largement au dessus de pas mal d'autres en terme d'écriture,de dialogue,de diversité des personnages,de décors,d'ambiance et de plein de choses encore.Le travail founi en amont,doit être colossal de chez colossal.Maggie gyllenhaal est admirable en femme déterminée,le personnage est très fort de symbole.Je trouve juste que la série a pour moi,un goût d'avoir louper de peu le statut de chef d'oeuvre qu'a treme ou the wire.Ce n'est que mon avis.Après,evidemment,que la série est un ovni,et qu'il faut la regarder.Moi ce qui me plait de fou chez david simon,c'est que le gars va dans n'importe quel milieu,il tape toujours juste dans les rapports humains,c'est magique.Ça n'a rien a voir,mais katrina cunnigham m'as pertubé...La saison 2 est pour moi la meilleure.Les dernières minutes,du dernier épisode m'ont emporter dans la douce mélancolie.Elles sont superbes ces dernières minutes. Bref,the deuce est géniale,foncez!
Une saison 3 franchement réussie qui relève le niveau de la saison 2 qui était un peu décevante. On retrouve la patte David Simon et on quitte ce quartier de New York avec un pincement au coeur. Belle série, une fois de plus !
Bon ben voilà, c'est fini. Comme une confirmation que les 80', c'était vraiment de la merde sur toute la ligne.
il y a décidément du génie dans cette serie... une 3eme saison qui cloture cette magnifique serie ... une plongée sans fard ni paillettes dans le quotidien d'un NY sans concessions... des personnages au charisme édifiants tour a tour au sommet de leur art puis happé dans une descente vertigineuse vers les bas fonds et pour beaucoup, leur propre fin ou totalement désabusé... quelle prestation... respect...
Trailer saison 3 : https://www.youtube.com/watch?v=h2tFmlBKFZA
Au bout de 2 saisons, à mon gout la plus mauvaise série de David Simon. Ca reste néanmoins agréable à regarder et la distribution est top, mais il manque le petit quelque chose qui fait qu'on l'on est littéralement scotché comme sur ses précédentes productions. 3/5
La saison 2 enfonce le clou... le style David Simmons dans toute son ingéniosité... Personnages tellement charismatiques et attachants, écriture et scénario à la pointe.. chef d'oeuvre! tout ce petit monde évolue tant bien que mal dans une fluidité et une ambiance impeccable et l'on suit leur parcours sans voir passer le temps... Dans mon top 10...
Vu les commentaires, je commencerai bientôt cette série o/
Série renouvelée pour une 3e et dernière saison.
la saison 2 nous propulse en 1978 au son des Earth wind and Fire, Kool and The Gang et autres prestigieux groupes de l'époque!!! ca nous rappelera qu'à cette époque, ils savaient faire de la musique... qu'ils savaient créer et nous faire rever... tout le contraire, maintenant...
La dernière fois que j'ai été aussi impatient du retour d'une série, c'était la saison 3 de GoT. Putain que j'ai hâte d'être à lundi!!!