A bunch of single parents band together to help a 30-something guy who's been so focused on raising his 7-year-old daughter that he's sacrificed his personal life.
Pour continuer dans la mouvance de ces arnaqueurs controversés (Inventing Anna, The Tinder Swindler, Super Pumped…), Hulu s’est intéressé à Elizabeth Holmes qui a créé Theranos, une entreprise qui promettait de rendre obsolète la prise de sang. Avec une seule goutte, sa machine l’Edison était capable de sortir des données aussi précises qu’une prise. Propulsée comme la plus jeune milliardaire (à ne pas avoir hérité de sa fortune) en 2015 par Forbes, son nom sonnait comme le renouveau dans la recherche médicale. Aujourd’hui, évidemment cette technologie n’existe toujours pas, et Holmes a été reconnue coupable de fraude.
Cela donne The Dropout, une mini-série avec Amanda Seyfried dans le rôle principal écrite par Elizabeth Meriwether, la créatrice de New Girl ou encore Single Parents qui adapte le podcast du même nom.
The Dropout retourne aux sources pour comprendre qui est Elizabeth Holmes et comment son ambition l’a poussée à arnaquer ses investisseurs. Dès le début, le spectateur comprend que cette héroïne se prend pour une héroïne : prête à changer le monde, se croyant spéciale, Elizabeth pense être une élue. Sûrement poussée par son entourage et sa rencontre avec celui qui deviendra son compagnon, Sunny Balwani (interprété par Naveen Andrews de Lost) Forcément, sa personnalité narcissique va prendre le dessus et elle va devenir le gourou de ces gens qui vont également croire en son projet.