À la mort du roi Ko Nam Moo, neuvième roi de la région de Goguryeo en Corée, une bataille féroce s'engage entre toutes les tribus appartenant aux frères du défunt roi. La reine Woo Hee a vingt-quatre heures pour épouser un de ses beaux-frères afin de garder le pouvoir.
Commentaires (5)
Ok cimer... je m'y mets.. il pèle tellement... à la revoyure👊🏼
Salut Bananita, ton commentaire fait que je me lance. merci Par contre,... une fois que j'ai pris des notes sur le nom des clans... j'en fait quoi ??? Ils renvoient à quelque chose ? une signification particulière ?
J’ai adoré, ça faisait un moment que j’avais pris autant de plaisir sur un sageuk. Une partie d’échecs coréens magistrale et un film d’action de 7 heures tout à la fois. Une espèce de Y-a-t-il un flic pour sauver la reine en 24 heures chrono. Oubliez les commentaires débiles des netizens sur les parties de jambes en l’air de JCW ou l’inadéquation des costumes. Qui peut avancer une iconographie de l’habillement de la noblesse coréenne au 2ème siècle après JC (à peu près l’époque de Marc Aurèle dans l’Antiquité romaine…) ? Et les scènes de cul du drama ne sont ni plus ni moins choquantes que celles d’un GoT ou de longs métrages coréens : ça m’a fait penser aux films La concubine ou Empire of lust. J’ai adoré Queen Woo, dont l’actrice envoie balader toute l’esthétique aegyo des leads féminins traditionnels. Queen Woo est une reine badass, garçonne, stratège, menteuse comme une arracheuse de dents à l’occasion (faut qu’elle sauve sa peau…), une véritable icône féministe. Pas de manichéisme, les adversaires ont de bonnes raisons de s’opposer, les bons sont ambigus à souhait. C’est beau, ça ferraille, ça saigne, âmes sensibles s’abstenir. JCW tranchant le pif de son frangin est un must see. Pour ceux qui ne sont pas familiers des noms coréens, prendre des notes sur les noms des clans (Go, Woo, Jwa, Eul…), la partie d’échecs n’en sera que plus subtile…