Le jour, Samantha traque les criminels aguerris tandis que Kelly lutte contre le trafic de drogue. Les deux amies sont des héroïnes aux yeux de tous. Mais la nuit tombée, elles font toutes deux face à leurs familles dysfonctionnelles et à une vie sens dessus dessous.
Ces trois séries disponibles sur Canal+ passent de la comédie au drame tout en étant très représentatifs de la société. Que ce soit dans le Royaume-Uni des années 20, ou encore à Toronto ou une petite ville suédoise, tout le monde cherche à résoudre leurs dossiers.
Avec une saison 3 actuellement en cours outre-Atlantique, la saison 2 de Pretty Hard Cases est disponible en France. Pour cette saison 2, les inspectrices Samantha Wazowski et Kelly Duff sont officiellement partenaires. Leurs vies privées et professionnelles s’entremêlent de plus en plus, pour le meilleur et pour le rire. Même si chaque épisode dure 45 minutes, on peut dire qu’il s’agit d’un format comédie avec une dose de drame. On retrouvera des références à la pop culture disséminées ci et là pour ancrer la série dans la réalité. La part belle est faite aux marginaux et offre une perspective différente des forces de l’ordre à la Brooklyn Nine-Nine.
Crime parfait ou pas ? C’est ce que va tenter d’expliquer Pourquoi pas Evans ? Une adaptation libre du roman d'Agatha Christie. Si Evans avait pu parler, il aurait pu dire quelque chose… Une mini-série présentée comme un film même un buddy movie. Pas de Poirot dans cette histoire d’Agatha Christie, mais un jeune inspecteur amateur (Will Poulter) accompagné d’une aristocrate rebelle (Lucy Boynton). Et la mini-série est réalisée entièrement par Hugh Laurie (Dr House).
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Commentaires (3)
Série pleine d’humour
Semblable,je me suis dis je vais voir ce que ça donne,c'est pas le summum,mais y'a un petit quelque chose qui fait que je me suis quand même écouter 1 saison en moins de 12 heures xD
Drôle de sentiment . D'un côté c'est d'une banalité au point que l'on se dit "Tiens, j'ai déjà vu, çà, quelque part". Le truc que l'on regarde négligemment d'un œil, puis au détour d'une scène, on reste scotcher sur le canap'. Et pourtant, c'est vraiment pas terrible avec toujours cette basse entre 2 répliques pour meubler les silences ; ces scènes de flics qui font prendre les Keufs ricains pour des teubés comme disent mes filles. Mais encore, cela happe le peu de liberté qu'entretient mon cerveau. Comme prisonnier de l'écran. C'est donc qu'il y a un truc. Le parti pris comédie sans l'être, la gouaille d'Adrienne C. Moore - Oui la Cindy dans Orange In the New Black - qui joue à merveille les infiltrées. Pour une bonne comédie policière il faut un collégue qui est tout le contraire de son collègue. Bingo, bien choisie la psychorigide Méredith Mc Neill, qui pour le coup jamais vu. Par contre elle, me faisait grave penser à l'autre série de prison de Femme, THE REFERENCE : WENTWORTH avec sa directrice dans la dernière saison dont Vera - Kate Atkinson. JE suis donc étonné que je serai présent pour une S2