Un présentateur respecté se retrouve soudainement incapable de s'autocensurer en plain direct, attirant l'attention d'une scénariste qui l'invite dans son émission.
C’est rare mais je crois que je vais archiver sans finir. Je n’ai jamais vu un scénario aussi brouillon : développements aussi terribles qu’inutiles de personnages secondaires voire tertiaires (la mère démente de l’amant de la mère de l’héroïne (si ! si !), la cliente battue du salon de coiffure…), arcs narratifs qui ne mènent à rien (les 2 gars étaient potes de lycée : so what ? quid de la collègue parvenue qui pique la place de sa responsable ?…), un nombre invraisemblable de faux raccords (le maquillage de Ki Baek dans la forêt, le choix du manège et j’en passe…) et last but not least, l’absence de tension dramatique, sacrifiée sur l’autel de l’aegyo et du « socialement correct », j’ai rarement autant soupiré d’agacement ET d’ennui devant un kdrama. Car au final, l’argument premier, la « déshinibition verbale » du héros, elle nous tient à peine sur 6 épisodes… Une vraie télé-réalité a plus d’énergie que cet empilement quasi mécanique de tropes. Je tente le 9 pour ne pas finir sur ce cliffhanger téléphoné, mais ce sera probablement mon dernier mot Jean-Pierre.
Commentaires (3)
J'ai bien aimé, drôle et émouvant
C’est rare mais je crois que je vais archiver sans finir. Je n’ai jamais vu un scénario aussi brouillon : développements aussi terribles qu’inutiles de personnages secondaires voire tertiaires (la mère démente de l’amant de la mère de l’héroïne (si ! si !), la cliente battue du salon de coiffure…), arcs narratifs qui ne mènent à rien (les 2 gars étaient potes de lycée : so what ? quid de la collègue parvenue qui pique la place de sa responsable ?…), un nombre invraisemblable de faux raccords (le maquillage de Ki Baek dans la forêt, le choix du manège et j’en passe…) et last but not least, l’absence de tension dramatique, sacrifiée sur l’autel de l’aegyo et du « socialement correct », j’ai rarement autant soupiré d’agacement ET d’ennui devant un kdrama. Car au final, l’argument premier, la « déshinibition verbale » du héros, elle nous tient à peine sur 6 épisodes… Une vraie télé-réalité a plus d’énergie que cet empilement quasi mécanique de tropes. Je tente le 9 pour ne pas finir sur ce cliffhanger téléphoné, mais ce sera probablement mon dernier mot Jean-Pierre.
C'était mignon drôle sympa et très émouvant