À tout juste 30 ans, Caden dirige le journal britannique appartenant à son père, Max, un homme d'affaires américain propriétaire de plusieurs médias à Londres et à travers le globe. Le trentenaire est destiné à suivre les traces de son géniteur, l'une des personnes les plus puissantes du monde. Mais le mode de vie autodestructeur de Caden devient incontrôlable. Ses conséquences dévastatrices menacent l’avenir de la famille, de son empire et d’un pays en pleine mutation.
Ce n’est pas parce qu’on représente les forces de l’ordre qu’on est forcément irréprochable, et l’inverse est également vrai.
Dans le centre de Londres, un coup de téléphone anonyme entraîne deux policiers talentueux - une jeune femme en début de carrière et un homme haut placé, déterminé à préserver son héritage - dans une bataille pour corriger une erreur judiciaire du passé. Dès le début, on comprend que le policier plus âgé (Peter Capaldi) a commis une bévue, ou a caché quelque chose lors d’une histoire de meurtre. Il se pourrait que l’homme mis en prison soit en réalité innocent. En tout cas, la possibilité existe, et c’est ce que va tenter de prouver June Lancer (Cush Jumbo) dans Criminal Record. Le thriller britannique créé par Paul Rutman (Indian Summers) ne va pas offrir des grandes scènes d’action ou de courses poursuites, tout est dans le réalisme et dans les dialogues. Il s’agit d’un vrai face à face entre la nouvelle garde et l’ancienne, qui jauge l’adversaire et qui a prévu le plus de coups d’avance et qui va abandonner le premier. Les victimes parfois passent plus pour des dommages collatéraux.