À la fin des années 1970, deux agents du FBI font avancer la criminologie en s'intéressant à la psychologie du meurtre et en se rapprochant de monstres hélas bien réels.
Bonne nouvelle pour les fans de The Newsreader ! La saison 2 arrive sur Arte le 14 mars 2025, et les deux saisons seront disponibles sur arte.tv jusqu’au 27 juin 2026. Après une première saison acclamée, cette nouvelle salve d’épisodes nous replonge dans les coulisses du journal télévisé australien des années 80, alors qu’Helen Norville (Anna Torv, Mindhunter) et Dale Jennings (Sam Reid, Entretien avec un Vampire) doivent composer avec les pressions du succès, les jeux de pouvoir et les scandales médiatiques. Alors que l’Australie s’apprête à célébrer son bicentenaire, la série poursuit son exploration percutante des tensions sociales et politiques d’une époque en pleine mutation.
1986, la salle de rédaction d’un journal TV australien. Deux protagonistes, une présentatrice du JT avec quelques années d’expérience derrière elle, Helen Norville (Anna Torv), et un jeune journaliste ambitieux Dale Jennings (Sam Reid). Sortie l’été dernier en Australie, la saison 1 en 6 épisodes de The Newsreader, créée par Michael Lucas (Offspring) a rencontré un grand succès dans son pays natal. Retour dans les coulisses d’un journal télévisé d’une grande chaîne publique de l’époque, la série à l’écriture ciselée débarque sur Arte.tv avec son titre français Profession : reporter dès le 26 janvier.
Cet intérêt pour ces salles de rédaction qui nous amènent les informations n’est pas nouveau puisqu’auparavant on a pu connaître Great News sur le pan comédie, ou encore The Newsroom par Aaron Sorkin plus sérieux qui tentait de rattraper l’actualité avec un temps de retard, la culte Murphy Brown, etc. j’en passe et des meilleures. Maintenant il y a The Newsreader qui décolle de l’actu vu que la série se déroule dans les années 80 à Melbourne et retranscrit d’ailleurs avec authenticité la période (le film Broadcast News étant l’une des références pour le décor de la série). Malheureusement, en tant qu’habitant de l’autre hémisphère, on ne saisira pas toutes les références à la culture locale et aux événements réels de 1986 mentionnés dans la série. Mais que cela ne tienne, ça n’empêchera personne de profiter de l’ambiance dramatique sous tension de The Newreader. Des imprévus qui arrivent en partant en reportage, aux anciennes affaires qui remontent à la surface qui provoquent des remous (non, pas de #MeToo des années 80) aux évolutions des personnages, vous serez happés par les intrigues et pourrez bien binger les six épisodes maîtrisés.