Né à Vinci, en Toscane, Leonardo est devenu un génie inégalé dont les travaux ont renversé l’ordre établi et sont une source d’inspiration encore aujourd’hui. La série cherche à résoudre l’énigme qu’est cet homme aussi extraordinaire qu’incroyablement contemporain, dans une démarche nouvelle et inédite.
Avec Télé 7 jours, découvrez le programme qui fait l’actu à la télévision. Cette semaine, retrouvez Leonardo, une série en huit épisodes à voir dès le lundi 7 février sur France 2, consacrée au génial peintre et inventeur.
La Joconde, L’Homme de Vitruve... Léonard de Vinci a laissé un nombre de chefs-d’œuvre impressionnant à l’humanité. Réputé dans le monde entier, l’artiste, qui vécut aux XVe et XVIe siècles, suscite encore beaucoup de curiosité, tant son travail reste mystérieux et fascinant. À la fois peintre, inventeur, scientifique, perturbateur... il fut aussi accusé de magie noire, de sorcellerie et de bien d’autres maux. Raconter sa vie relève donc d’un véritable défi. C’est pour- tant ce que s’est attachée à faire l’audacieuse série européenne Leonardo. Ses principaux atouts ? Un casting international et un scénario qui s’intéresse à sa vie d’artiste, tout en y ajoutant du suspense, car, dès le début, Léonard de Vinci est accusé d’avoir empoisonné Caterina da Cremona, dont il est très proche. Interprété par l’Italienne Matilda De Angelis (vue récemment dans la série The Undoing, sur TF1), ce personnage réserve bien des surprises et joue un rôle essentiel. Dans la peau de Leonardo, Aidan Turner, comédien irlandais, est, lui aussi, remarquable. Déjà convaincant dans les séries Desperate Romantics, Poldark ou encore Being Human, il est, ici, criant de vérité. Quant aux flash-backs, ils illustrent avec brio la personnalité foisonnante, mystérieuse et complexe de ce génie. Notons également la présence au casting des Français Hugo Becker (Je te promets, Chefs) et Robin Renucci (Un village français). Cocorico !
À série exceptionnelle, projet exceptionnel ! La démesure des moyens déployés confère à cette série historique des airs de superproduction hollywoodienne. Il aura fallu la participation de 3000 personnes, ainsi que 2 500 costumes et cinq mois de travail pour construire, dans les studios de Lux Vide, près de Rome, les 20000 m2 de décors qui reconstituent Florence et Milan. Avec un casting international, le tournage s’est donc fait en anglais. « Jouer en anglais nous a donné un côté beaucoup plus spontané que j’ai aimé, car cela apporte un dynamisme supplémentaire à ce récit qui évoque un sujet artistique lié à notre histoire de l’art », confie Robin Renucci, qui incarne Piero da Vinci, le père de Léonard. « Une fiction comme celle-ci est intéressante, car elle sort du cadre de ce que l’on voit habituellement sur le petit écran. Elle relie les arts pour servir une télévision populaire, avec une forte présence de l’esthétisme », ajoute-t-il. Il faut reconnaître que les images et les décors surprennent par leur qualité. Mieux encore, ils nous transportent en quelques secondes cinq siècles en arrière. Cerise sur le gâteau, le scénario, associant volontairement fiction et événements historiques, fait intervenir différents personnages, comme Michel-Ange et Machiavel. Du génie !
Commentaires (8)
Très bonne série, prenante et bien réalisé. Un coup de cœur encore pour l acteur principal que j avais déjà adorer dans being Human
C'est excellent !
C'est pas la série du siècle mais c'est vraiment bien foutu, avec des acteurs qui se donnent à fond, beaux décors/costumes et bon aspect technique. La vie de LDV est suffisamment riche pour que tous les épisodes soient super (mais alors vraiment super) riches en événements, c'est simple y a aucun temps mort ! Niveau fidélité je sais pas, mais niveau divertissement c'est vraiment pas mal du tout. Un bon moment en somme !
Excellente série
Pas sûr que cette histoire ait grand chose à voir avec la personnalité ou la vie de Leonard de Vinci, mais la définition du contexte historique et la qualité des décors nous y font suffisamment croire. Au final une énigme policière romanesque originale mais un mélange de genre un peu confusant.
Excellente série qui tient en haleine jusqu'au final
Bien meilleur série que Da Vinci's Demons, cette série permet de découvrir ses 2 périodes florentines et sa 1ère période milanaise avec un entrefilet sur sa formation avec Verrochio. Oui , il est des plus probables qu’il soit homosexuel et c’est la seul fois qu’il a eu affaire à la justice. Frôlé, serait plutôt le bon terme. Il n’a jamais été question qu’il soit arrêté pour le soi-disant meurtre d’une de ses muses. Dommage de partir sur un faux postulat pour raconter l’immensité de son œuvre. Cela reste une série agréable, si on se force au moins à visionner 2 épisodes. Après cela peut passer tout seul.
Très très belle mini-série. Aiden Turner est magnifique et donne une belle dimension au personnage. La réalisation est simple mais elle fait le job. Les décors sont beaux et l’histoire en plus d’être belle tient bien la route. Je conseille vivement et Je l’a reverrai avec plaisir 👍❤️