Que c'est long, mais long, très long. A visionner à minima 1 épisode par jour et encore... Côté positif, le coordonnateur d'intimité a fait un très beau travail : pas un seul boob ou un plan de fesse dans ces histoires de cul. Heureusement car le sujet n'est pas là, il s'agit juste du point de départ. car le vrai le sujet est ailleurs, le regard des autres, la honte que les gens essaient de mettre sur la victime, car on le sait tous, si une femme se fait violer c'est à cause de sa jupe trop courte ou de son décolleté trop profond, jamais la faute de l'agresseur. Donc le sujet est donc les conséquences de la diffusion intime, cela en devient caricatural jusqu'à faire passer les ibériques pour des adultes immatures : comme cette scène de personnes traversant la rue reconnaissant la femme politique et la pointe du doigt.. Et c'est long, long, mais d'un long, avec des conversations interminables qu'un épisode voir la moitié du suivant aurait pu largement suffire pour nous convaincre du malaise des victimes. Pour cela mission réussie. Il faudra donc être très patient jusque E6 pour que cela se décante avec un sens que France Télévisons apprécierait sur le phénomène de revengeporn et le changement de camp de la honte. 8 épisodes pour montrer cela c'est largement 4 de trop.
scheinen
Très chouette, bon casting, bon scénario, qui change un peu de l’ordinaire
Commentaires (2)
Que c'est long, mais long, très long. A visionner à minima 1 épisode par jour et encore... Côté positif, le coordonnateur d'intimité a fait un très beau travail : pas un seul boob ou un plan de fesse dans ces histoires de cul. Heureusement car le sujet n'est pas là, il s'agit juste du point de départ. car le vrai le sujet est ailleurs, le regard des autres, la honte que les gens essaient de mettre sur la victime, car on le sait tous, si une femme se fait violer c'est à cause de sa jupe trop courte ou de son décolleté trop profond, jamais la faute de l'agresseur. Donc le sujet est donc les conséquences de la diffusion intime, cela en devient caricatural jusqu'à faire passer les ibériques pour des adultes immatures : comme cette scène de personnes traversant la rue reconnaissant la femme politique et la pointe du doigt.. Et c'est long, long, mais d'un long, avec des conversations interminables qu'un épisode voir la moitié du suivant aurait pu largement suffire pour nous convaincre du malaise des victimes. Pour cela mission réussie. Il faudra donc être très patient jusque E6 pour que cela se décante avec un sens que France Télévisons apprécierait sur le phénomène de revengeporn et le changement de camp de la honte. 8 épisodes pour montrer cela c'est largement 4 de trop.
Très chouette, bon casting, bon scénario, qui change un peu de l’ordinaire