- Genres Drame, Histoire, Mini-série, Comédie musicale
- Durée d’un épisode 46 minutes
- Durée totale 3 heures 4 minutes
- Statut Terminée
- Chaîne ABC (AU)
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Dernière mise à jour
4 mai 2023 - 18:26
sur 11 bases de données -
In Our Blood
L'émergence de la problématique du Sida, en Australie, dans les années 80, perturbe le monde de la nuit et bouleverse la communauté homosexuelle.
Du 3 au 13 novembre, Genève accueillera dans les salles et en ligne, le Geneva International Film Festival 2023. Pour sa 29e édition, le festival s'ouvrira avec la première suisse de la dernière production du prolifique Quentin Dupieux, DAAAAAALI!, et honorera le compositeur Jean-Michel Jarre. Au-delà des projections de séries et de films, s’y ajoutent des masterclass, des tables rondes, et tout un pan professionnel parallèlement avec le marché. BetaSeries sera également présent durant le festival.
Dans l’idée d’encourager les nouvelles technologies, comme depuis plusieurs années, le GIFF propose une sélection d’œuvres immersives en plus de la compétition classique avec ses Territoires virtuels.
Du côté séries, on retrouvera en compétition internationale :
Commentaires (2)
série déconcertante que je vais revoir, je trouve qu'il y a trop de musique
Chaque pays fait son oeuvre sur le SIDA. Au tour de l'Australie. J'ai vécu cette période de l'émergence de cette maladie. Je peux donc en parler en toute connaissance de cause. Et l'ambiance et l'historique y sont très bien retranscrites. 2 grosses différentes par rapport aux autres série abordant ce thème : L'utilisation du préservatif - qui reste le rempart ultime à la propagation de la maladie - et les affaires de sang contaminées. Pour la 1ère différence, je rappelle que les médicaments pour lutter contre la diminution du système immunitaire ont beaucoup d'effets secondaires. Ce qu'on oublie assez souvent, ce n'est pas le SIDA qui fait mourir, c'est sa conséquence. On meurt d'une maladie dont le corps n'arrive pas à se défaire du fait e la faiblesse de la défense immunitaire que crée le SIDA. On peut mourir d'une angine comme d'une coupure mal désinfectée. La 2ème est la lenteur des politiques à limiter le don du sang. En France, ils ont préféré écouler les stocks plutôt que les bruler. Résultat Environ 1300 hémophiles on été contaminés.