1763, Londres. La ville est en plein essor. Les seules chances pour une femme d'améliorer sa situation sont le mariage ou la prostitution. Il y a plusieurs années, Margaret Wells a quitté Lydia Quigley, une maquerelle réputée de Soho dont elle était une « fille », pour diriger sa maison close dans Greek street. Une rivalité s'installe entre Margaret, désireuse de tenir un établissement renommé, et Lydia, qui compte bien rester la coqueluche de la bonne société georgienne.
Catherine de Médicis, un nom qui revient tout au long de notre scolarité. Nom attaché aux guerres de religion entre catholiques et protestants, elle vient d’une grande famille florentine avant de devenir reine de France en se mariant à Henri II. Dans The Serpent Queen, c’est Samantha Morton (Harlots) qui vient prêter ses traits à la reine. La France est bien présente avec Ludivine Sagnier qui campe son ennemie jurée, la dame d’honneur Diane de Poitiers. Avec une narration en flashbacks entre la Catherine adulte et ses versions plus jeunes, on comprendra comment son personnage s’est construit à travers les années et comment les intrigues à la cour ne lui font pas peur.
La mini-série en huit épisodes démarre sur Lionsgate+ (anciennement Starzplay) le 11 septembre.
Entre cassage du quatrième mur et une réalisation bel et bien contemporaine, Justin Haythe le créateur, a opté pour une revisite moderne de cette figure historique en s’inspirant de la non-fiction Catherine de Medici: Renaissance Queen of France écrit par Leonie Frieda.