Un prélude au roman épistolaire du XVIIIe siècle de Choderlos de Laclos, qui met en lumière la rencontre de ses personnages emblématiques, la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont, en tant que jeunes amants passionnés, à Paris, à la veille de la Révolution.
Les liaisons dangereuses a inspiré des adaptations très différentes, de la moderne Sexe Intentions au film avec Glenn Close et John Malkovich à des pièces de théâtre. Cette fois-ci, la voici en série avec les personnages dans leur jeunesse. Alors que le programme commence à peine à être diffusé, une saison 2 vient d’être commandée pour ces Liaisons dangereuses, la préquelle imaginée par Harriet Warner du livre de Pierre Choderlos de Laclos. Ici la marquise de Merteuil est encore une jeune Camille, et Valmont n’est qu’un noble rejeté. Tous les deux s’aiment et se font de belles promesses et vont grimper les marches de la société tout en saisissant toutes les opportunités qui leur permettront de monter d’un échelon.
La manipulation et la sensualité ont toujours été des thématiques prépondérantes dans l’œuvre qui a défrayé la chronique à l’époque. Cette fois-ci, Lionsgate+ nous propose un drame historique un peu différent de ses fresques royales comme le dernier The Serpent Queen (qui vient d’être renouvelée pour une saison 2), puisqu’avec Les liaisons dangereuses, on entre complètement dans la fiction sans personnage réel. Les costumes sont exubérants, la foire aux vanités est ouverte.
Harriet Warner (Tell Me Your Secrets) et Collin Callender (qui est producteur exécutif sur le triptyque White Queen/White Princess/Spanish Princess), viennent expliquer leur démarche derrière la série.