Après une vie de servitude en tant que porte-bonheur humain, une femme aux étranges pouvoirs cherche à se venger de ceux qui lui ont fait du mal.
Le GIFF a toujours prôné l’innovation, et cette année ne déroge pas à la règle. Films, séries et œuvres numériques habiteront cette dizaine proposant au public une offre frondeuse et résolument tournée vers l’avenir. Une mosaïque de 120 œuvres inspirantes et inédites en Suisse qui explorent la fiction audiovisuelle contemporaine sera disponible sur place à travers Genève et en ligne.
Côté séries, de belles avant-premières suisses et internationales auront lieu. La 28e édition sera inaugurée vendredi 4 novembre avec la première suisse de la nouvelle saison de The Kingdom Exodus (en VF L’hôpital et ses fantômes de Lars Von Trier) attendue depuis près de trois décennies par les aficionados. Nicolas Winding Refn qui recevra le Geneva Award présentera une masterclass à distance ainsi que sa première série Copenhagen Cowboy. On n’oublie pas Mani Haghighi (Subtraction) ou encore Lone Scherfig (The Shift) comme invitées.
En compétition séries cette année on va trouver :
Commentaires (7)
Très déstabilisant , un ovni envoûtant
Dans la droite lignée de Too Old to Die Young, Nicolas Winding Refn refait le même coup du génie contemplatif qui se regarde le nombril. Certes, on en prend pleins les yeux sur le cadrage des plans, les lumières (froides ou néons rouge), les mouvements de caméra (rotation permanente sur son axe de soutien), Mais pour le reste, ne vaut mieux pas regarder après le repas dominicale de Tati Géneviève : Sieste assurée. Qu'il continue à faire des films et qu'il arrête les séries.
Un bonne série.La lumière néon-use habituelle au réalisateur.Un score synthétisé froid,électrique,qui gronde.Des acteurs 100% dans le ton du projet.J'aime les métaphores sonores animales,exprimant la vision sur certains êtres humains.Un humour noir par minuscules touches,une violence vivant en cohabitation continu avec des personnages quelques fois insensibilisés.Cette brutalité montrée,indiquée,sugérée même cachée,le son est un sens qui est beaucoup sollicité dans l'oeuvre,certaines fois mieux que d'autres.Le rythme est parfois lourd (au sens puissant,bruyant),parfois vif,parfois élastique ou intense.Par contre,les plans rotatifs en nombres,ça m'as un peu gonflé,de plus je trouve qu'il n'apporte pas toujours quelque chose au visuel.L'histoire est bonne,le fantastique,la vengeance,se mélant au crime organisé,j'suis dedans.J'usqu'au 5ème jet,le récit est compréhensible,parce que le dernier whaaaaa,j'ai pas du tout décodé hein!La fin c'est fait intentionnelement je pense,je l'ai pas saisie non plus!Des barres!Grâce à Dieu j'ai une idée,mais peût-être que nicolas winding refn nous donnera des réponses pour une seconde édition.En tout cas,j'ai pris un certain plaisir à visionner copenhagen cowboy.(4/5)
Vu 3 episodes ,C'est lent, long, ennuyeux, les épisodes semblent interminables, les acteurs ont pas du trop se fouler niveau émotion et texte, ce rouge et ce bleu c'est sympa un moment , j'ai baillé et je me suis entendu ronfler dans mon divan (rouge je vous jure) , Bo sympa, photo top
Rho la claque. C'est pas pour les amateurs
Complètement barré, j'aime 🙃 !
le 5 Janvier sur Netflix ! TRAILER ! https://www.youtube.com/watch?v=3KBA_8tyI7U