What does it take to maintain your status as a bestselling author?
Han Se Ju was a writer in his past life during the 1930s Japanese occupation of Korea. He has been reincarnated and is a bestselling author in modern day. But Se Joo is depressed and has writer’s block that keeps him from completing his next bestseller.
Yoo Jin Oh is a talented ghostwriter who can bail Se Joo out of his predicament, but the mysterious man has a condition for his services that Se Joo may not be able to meet.
Jeon Seol is a veterinarian and book lover who runs her own delivery service. She becomes an anti-fan of the overrated Se Joo.
Can Se Joo produce another bestseller under such difficult circumstances?
Commentaires (7)
Série originale et surprenante et agréable
J’ai trouvé un peu long à se mettre en place mais après a fond dedans 😄
Pour les amateurs de fictions sur la période d’occupation de la Corée par l’Empire japonais, regardez Modern boy avec Park Hae Il (Memories of murder , Eungyo, The host) et Kim Nam Gil (Queen Seon Dok, Shark, The fiery priest, The shameless) de Jeong Ji Woo (réalisateur des fabuleux Happy end et A muse et plus récemment Tune in for love). La reconstitution de l’occupation est plus documentée et plus hardcore.
Affiche trompeuse qui nous fait acheter du drama historique alors que l’Histoire n’est approchée que par le petit bout de la lorgnette. Drama nonchalant aussi, voire mollasson : il accroche au 1er épisode, se réveille au 5ème puis au 10ème. Les trois derniers épisodes sont de haute volée, mais ça arrive bien tard… Casting haut de gamme pour un scénario qui l’est moins, trop déséquilibré : déséquilibre entre les deux époques (les épisodes 14 et 15, peut-être les meilleurs, se déroulent presque en totalité dans les années 30, alors que l’époque moderne domine largement tout le reste) ; déséquilibre aussi entre les personnages avec 3 persos hyper travaillés et… tous les autres, qui ne servent pas à grand’chose (la copine de chambre, le chef italien), qui peuvent même agacer (la mère de Tae Min, l’éditeur) ou qui sacrifient de bons acteurs (la chamane, le père de Tae Min). Le caméléon Yoo Ah In et le solide Go Kyung Pyo nous sauvent de l’ennui. Belle fin.