Six ans avant de croiser le chemin de Walter White, Saul Goodman, connu sous le nom de Jimmy McGill, est un avocat qui peine à joindre les deux bouts, à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Pour boucler ses fins de mois, il n'aura d'autres choix que se livrer à quelques petites escroqueries. Chemin faisant, il va faire des rencontres qui vont se révéler déterminantes dans son parcours : Nacho Varga, ou encore Mike Ehrmantraut, un criminel spécialisé dans le "nettoyage", qui deviendra son futur homme de main.
C’est le printemps des séries en avril ! On s’attend à un mois très chargé en nouveautés ainsi qu’en nouvelles saisons très attendues.
La plus maléfique des poupées fait son retour sur le petit écran. Après un succès d’estime et d’audience aux États-Unis sur SyFy et USA Network, la série Chucky débarque sur Salto à partir du 1er avril. On y suit Jake, un ado de 14 ans, qui fait l’acquisition d’une poupée Chucky dans un vide grenier. S’en suivra une série de meurtres sanglants dans la pourtant paisible banlieue de Hackensack, dont les habitants semblent cacher bien des secrets.
Après OVNI(s), Canal+ dirige à nouveau ses yeux vers les étoiles avec sa nouvelle création originale, Infiniti, disponible le 4 avril sur myCANAL. Dans cette série de science-fiction, la Station spatiale internationale ne répond plus et son équipage est coupé du monde. Mais lorsqu’un cadavre décapité et couvert de cire est retrouvé sur un toit au Kazakhstan, le mystère s’épaissit : il s’agit bien d’un des astronautes en mission dans l’ISS. Anna, une spationaute française écartée du programme, et Isaak, un flic kazakh, font enquêter sur l’affaire.
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Commentaires (274)
Je me suis surpris à pleurer à la fin de la série peut être plus parce que je me suis attaché aux personnages (Jimmy et Kim) et ce qui leur arrive que du fait de la fin de Jimmy (mais pouvait il en être autrement ? Merci à tous ceux qui ont participé à ce monument qu'est désormais BCS...
Cette série clôt brillamment l'univers de BB avec un Saul Goodman humain, tiraillé entre son frère Chuck et sa compagne Kim. Un problème à trois corps Toutes ces personnes Saul, Walter, Mike, Gus etc auront broyé la vie de nombreuses personnes souvent innocentes Une belle aventure humaine cette série finalement
Alors avant toute chose, si certains se posent encore la question: Oui, il faut absolument regarder Breaking Bad avant Better Call Saul (et tant qu'à faire, El Camino juste après Breaking Bad). Maintenant, si certains peuvent repprocher à Better Call Saul un rythme lent, je dirais qu'au contraire c'est ce qui en fait tout son charme. A l'instar de Breaking Bad, sa série mère, on démarre tout doucement, on prend le temps de préparer le terrain, de s'habituer et de s'attacher aux personnages. Puis petit à petit les éléments se mettent en place avec un naturel presque innocent, et une fois que les pièces sont toutes là où elles doivent être, une fois que l'on a bien cerner tous les enjeux, c'est d'abord une de ces pièces que l'on abat. Puis avec elle s'effondre une autre, puis encore une, et à chaque pièce qui tombe la tension augmente, et ainsi de suite jusqu'à ce que tout soit hors de contrôle. Un effet papillon dont on saisit chaque petit élément qui mènent à cette escalade presque imprévisible. Et c'est justement tout ce que l'on voit en amont qui nous permet d'apprécier aussi intenséments ces moments clés des deux séries. Quant à savoir laquelle des deux s'en tire le mieux, chacun aura son avis sur le sujet. Mais à mes yeux l'histoire de Saul Goodman ne surpassera pas celle de Heisenberg. Tout comme Jesse à eut son film bonus: El Camino qui vient clôturer son aventure, Jimmy McGill à droit lui aussi à sa série bonus. Et ces deux oeuvres parviennent parfaitement à clôturer leurs histoires respectives de sorte à ce qu'il ne reste absolument plus rien à exploiter de cet univers. Une petite prouesse en soit. Cependant Breaking Bad arrivait bien mieux à maintenir l'intérêt et une tension grandissante sur le long terme, tout en nous offrant une fin d'anthologie. Néanmoins Better Call Saul à elle aussi ses qualités que l'autre série n'a pas. Une réalisation toujours aussi efficace, des plans toujours aussi percutant et une ingéniosité toujours plus surprenante, mais avec un soin tout particulier sur l'éclairage, la colorimétrie et l'étalonnage de l'image. Une plus value qui achève de nous émerveiller tout au long de la série. Mais c'est surtout dans son agencement scénaristique que la série parvient à se démarquer. Better Call Saul prend à malin plaisir à nous lâcher, dès les premières secondes d'un épisode, dans des situations out of context toujours plus surprenantes les unes des autres, nous faisant nous demander "Pourquoi? Quel est l'intérêt de ce que l'on voit? Quel est le lien avec ce qu'on a vu? Qu'est-ce que ceci va apporter à l'histoire? Comment on en est arrivé là?" On ne comprend rien à ce qu'il se passe, ça semble parfois loufoque, absurde, c'est déstabilisant et en même temps particulièrement intriguant. Ce n'est qu'en découvrant l'épisode petit à petit que l'on finit par comprendre l'intérêt de cette scène qui bercera les 50 minutes de visionnage à suivre. Et c'est le lot de la grande majorité des épisodes. Mais là où ce procédé prend vraiment tout son sens, c'est lorsqu'on se rend compte qu'il est utilisé à l'echelle de la série toute entière! Des éléments des premières saisons semblent anodins, des arcs scénaristiques se clôturent et on pense qu'on va en rester là. Pourtant ce n'est que vers la fin de la série qu'on en saisira toute la portée. Ne serait-ce que pour cette raison, Better Call Saul est une série à voir, d'autant plus qu'elle rend parfaitement hommage à Breaking Bad. Les deux histoire s'entremêlent et se complètent à la perfection. Encore une fois, les créateurs de ces monuments du monde des séries prouvent qu'ils savent en manier les ficèles d'une main de maître sous tout ses aspects. Et même si j'ai de loin préféré regarder Breaking Bad à El Camino ou Better Call Saul, je ne regrette absolument pas de m'être lancé dans ces prolongements d'un univers qui continuera durablement à marquer l'histoire des fictions audiovisuelles.
Je me suis tellement ennuyé ;( J'ai commencé car pour beaucoup de monde c'est une "masterclass" C'est carrément en dessous de Breaking Bad, c'est un poil mieux à partir de la saison 4, mais avant, c'est d'un ennui.... Après c'est moins pire
Une masterclass, comme l'est Breaking Bad
Encore une série vraiment énorme, lié étroitement à Breaking bad qui est aussi géniale, j’ai rarement vu une série aussi palpitante. Tous les acteurs sont bons, c’est super, regardez Breaking Bad puis foncé voir cette super série ! Il y a pas de mots juste au top..
😎
Une série des plus captivantes, qui n'a rien à envier à Breaking Bad. Le jeu d'acteur est superbe et l'intrigue nous tient en haleine jusqu'au bout. Franchement, tout cet univers va me manquer...
Dans mon top
Très bonne suite à Breaking Bad, une master class.
Série absolument brillante. Du 1er épisode au tout dernier instants du dernier. Quelle fin, quelle émotion ! Le travail de tous les participants de cette série est grandiose. La qualité de la prestation de Rhae Seehorn et Bob Odenkirk m'aura bouleversé jusqu'à la dernière seconde.
J’ai commencé Breaking Bad j’étais encore dans ma vingtaine et je termine Better Call Saul dans la quarantaine… ça me fait bizarre de me dire que tout ça c’est fini. Du grand art tout simplement !
A part le dernier épisode où je n'ai absolument pas compris (et pas du tout adhéré) au choix du scénariste, dans l'ensemble je trouve que c'est un chef d’œuvre, comme a su l'être Breaking Bad :)
Aussi bien que sa série jumelle "Breaking bad", personnages très attachants.
Que dire ? Une des meilleures séries que j’ai pu voir. J’aimerai juste tout oublier et redécouvrir l’histoire 😄
Voilà la fin d'une bonne série Elle va nous manquer ... Mais si l'on regarde bien, j'ai trouvé que la fin était un peu molassonne par rapport au début de cette saison Et je m'attendais aussi à un dénouement un peu plus "spectaculaire", bien que Better Call Saul soit assez calme par rapport à sa consœur. Mais dans l'ensemble se fut un bon divertissement, et l'univers va manquer, c'est sûr
Et voilà... l'univers BB/BCS est définitivement clos. Quelle masterclass ! Au-delà des intrigues rondement ficelées je suis totalement fan de la réal. Les plans sont la plupart du temps sublimes... je ne trouve même pas les mots ! A revoir et à savourer !! It's all good man 💗
Un sans-faute. J'ai pas les mots. Meilleure série de tous les temps.
Mon commentaire va dénoter par rapport à ceux que je lis depuis la fin de Better Call Saul. J'ai attendu un peu mais je n'ai pas changé d'avis par rapport à cette dernière saison. La première partie est rythmée, excellente (quoique des parties semblent être trop vite expédiées, notamment certaines "morts" qui arrivent très/trop vite.) A la maison, on a adoré cette partie (de mémoire épisodes 1 à 9) et ensuite bin vraiment on a peiné à continuer... La lenteur ne nous semble pas du tout mais alors pas du tout nécessaire et l'opposition entre la résolution rapide dans les épisodes précédents (ça aurait demandé plus de temps justement.) et là, la lenteur... Pouah ! A chaque épisode, on se disait "bon c'est juste celui-là, ça va repartir." mais non... On comprend le besoin de prendre le temps pour bien prendre en compte nouvelle vie, façon d'être, évolution des personnages etc mais c'est tellement long et alambiqué... La fin "magistrale", "magnifique", "exceptionnelle" etc comme on l'a lu un peu partout, ne l'a pas été pour nous. Les "liens" avec BB sont bien sûr plaisants mais on a eu un peu le même effet que pour El Camino, c'est sympa, pas inutile mais ça a trop un côté Fan Service. Bref, on a suivi les 2 séries, on les a aimées, adorées donc on ne va pas cracher dessus mais honnêtement, on est plutôt déçu de cette fin de dernière saison.
Incroyable