Au pensionnat pour filles de Silver Creek dans l'arrière-pays australien, les élèves sont en grande partie livrés à eux-mêmes pendant leur temps libre. Mais la communauté qui s'y dessine est loin d'être "fraternelle"...
Présentée en première internationale à la Berlinale séries, où elle était en compétition, Bad Behaviour est un voyage dans l’adolescence troublée de Joanna Mackenzie, qui aura pour elle des conséquences dévastatrices, même des années plus tard. Basée sur les mémoires du même nom de l’écrivaine australienne Rebecca Starford, la mini-série Bad Behaviour explore l’intensité des amitiés féminines, les rites de passage, la sexualité naissante et une lutte impitoyable pour le pouvoir, montrant un aspect troublant de l’adolescence qui n’est pas souvent dépeint de manière aussi véridique.
Entre le présent et les souvenirs du passé, les quatre épisodes sont disponibles sur OCS Max.
Lorsque Jo, 25 ans, croise par hasard une ancienne camarade de classe, les souvenirs de l’année brutale qu’elles ont passée ensemble au pensionnat Silver Creek lui reviennent en mémoire. Avec ses ami·es d’aujourd’hui, une introspection et une obsession va la pousser à repenser à ses souvenirs du passé se déroulant à Silver Creek, un pensionnat pour jeunes filles assez huppé. Là-bas, un microcosme de la société avec ses classes dirigeantes, les élèves brimées souvent boursières, les professeurs qui font semblant de ne rien voir… Isolées dans la brousse australienne, l’éducation de filles de Silver Creek se fait à la dure. Et comme la nouvelle étudiante boursière Joanna "Jo" McKenzie (Jana McKinnon) va rapidement le comprendre, le pensionnat cache des moments cruels d’humiliation et de violence sous ses airs bien polis.
Commentaires (3)
L’installation d’une relation toxique à l’adolescence dans un collectif sur fond de recherche identitaire et d’affirmation de soi. Les interprétations sont plausibles malgré quelques longueurs peut-être pour nous plonger dans la torpeur propre à l’adolescence 🤔
Pas du tout accrocher malgré seulement quatre épisodes, c'était très poussif.
Série dispensable qui fera les beaux jours de France3 un jour de semaine dans l'après-midi