Louison, 38 ans, mère célibataire récemment séparée, découvre qu’elle est autiste Asperger lorsqu'on diagnostique son fils Guilhem, 11 ans, qui a blessé un camarade de classe le jour de la rentrée. À peine se sent-elle libérée par cette révélation qu’une enquête sociale démarre pour savoir si elle va conserver la garde de son enfant. Louison va devoir apprendre à s’assumer tout en prétendant être la plus "normale" possible. Mais comment se couler dans un moule dont on ne comprend pas la forme ?
Quand on participe à Séries Mania, c’est aussi l’occasion de découvrir des co-productions françaises en avant-premières où des chaînes nationales ont pu participer à la production. C’est le cas des trois titres de notre reco du weekend.
Avec humour, Aspergirl mélange les codes de la dramédie familiale et du coming of age (ici tardif) en suivant les tribulations d’une mère de famille pas tout à fait comme les autres, qui questionne notre rapport à la norme. Louison, 38 ans, mère célibataire récemment séparée, découvre qu’elle est autiste Asperger lorsqu'on diagnostique son fils Guilhem, 11 ans, qui a blessé un camarade de classe le jour de la rentrée. À peine se sent-elle libérée par cette révélation qu’une enquête sociale démarre pour savoir si elle va conserver la garde de son enfant. Louison va devoir apprendre à s’assumer tout en prétendant être la plus "normale" possible. Mais comment se couler dans un moule dont on ne comprend pas la forme ? Touchante, éclairante et surtout très humaine, Aspergirl n’est pas une grande série, mais une qui mérite d’être vue pour s’ouvrir un peu plus sur les autres.
La co-production européenne Abysses (une autre série aussi ambitieuse est pressentie avec Concordia) était également en avant-première au festival cette année.
Commentaires (4)
Malgré son statut « Terminée », la série bénéficiera à priori d’une saison 2 puisqu’on trouve des offres de casting pour celle-ci… affaire à suivre !
greta....
Le format court aide à binge watcher la série, mais il lui manque quelque chose pour réussir à s'attacher aux personnages et à l'histoire. Je pense que la critique de @scheinen résume exactement ce qu'il y a à retenir
Traiter un sujet noble n'en fait pas automatiquement un chef-d'oeuvre. Ici cela met bien en lumière le syndrome d'Asperger, plus précisément celui par les femmes -Une niche trés trés particulière - Et c'est tout. Le format de 20 minutes aident à ne pas être trop lourd.