Jolene, une star du porno et mère de trois enfants est présentée à Amy, une jeune danseuse de 19 ans nouvelle dans l'industrie. Elle l'accueille comme n'importe quelle autre fille, mais elle ne peut protéger Amy de ses propres choix, et bientôt, sa relation avec cette jeune femme instable remet en cause sa propre carrière et complique sa vie de famille.
Lancé en 2016 sur Facebook, Brut. est devenu le media en ligne le plus impactant de ces dernières années. Avec pas moins de 20 milliards de vidéos vus en 2020 et 300 millions de téléspectateurs uniques par mois, Brut. pèse désormais considérablement dans le monde médiatique, en abordant des sujets de société au plus proche de son public : écologie, droits des femmes, la question du genre.
Aujourd’hui, le média aborde une nouvelle décennie et une étape charnière dans son existence en lançant BrutX au printemps dernier, sa nouvelle plateforme de SVOD qui mettra en avant des oeuvres de créateurs engagés, sur un format plus long. BrutX, ce sont trois univers : les films, les séries et les documentaires. Chacune des oeuvres présente au catalogue est sélectionnée pour sa thématique qui questionne la société d’aujourd’hui pour les plus jeunes générations. La plateforme le promet : "Aucun thème ne sera tabou".
Ainsi, on pourra y retrouver des séries qui reflètent chacune le monde à leur manière. À commencer par la série évènement Veneno, par les producteurs de La Casa de Papel, qui raconte l’histoire de la journaliste Valeria alors qu’elle part à la rencontre de la Veneno, une ancienne égérie transgenre qui a fait grand bruit en Espagne dans les années 90. Cette semaine, c'est We Are Lady Parts qui débarque sur la plateforme, la série britannique récompensée au festival Séries Mania et donc on vous reparle très vite sur BetaSeries.
Commentaires (5)
Putain ouais,le 1er volet est spé:un début genre comédie (qui m'a pas plu d'ailleurs),avec par la suite une tournure beaucoup plus dramatique,c'est un délire cette série.Elle traite de sujets importants et sérieux avec plaisanterie et désinvolture (c'est anglais,c'est leur truc,mais ça m'saoulait),et en même temps,elle envoyait des grosses réflexions pertinentes;parc'que cette série aborde des thèmes importants comme la vie de famille,l'impact de ce métier sur leurs enfants.L'accord de tourner en conscience est-il réel ou fantasmée?Les dégâts sur le corps,les raisons qui poussent une femme à aller dans ce milieu.Rayer l'idée d'une "coolerie" à être dans cette industrie,car le fun n'est pas ton allié (le film pleasure en parle bien),ainsi que d'autres terrains.Les acteurs sont bons en plus,mais bon,trop de second degré,ça m'plait pas,et je vois plus où veut en venir adult material.J'me barre à 15mns de la fin du 2ème épisode
Jolie petite série, avec ni un bon dénouement, ni un mauvais. Un excellent jeu d'acteur également, qui donne un divertissement bien dosé
Le 1 er épisode est déroutant. 15ères minutes, on dirait la série « Hard » version English avec cette actrice assumant parfaitement sa vie professionnelle avec sa vie familiale, puis changement de registre, l’épisode passe côté sociologie pour se terminer sur le genre policier. Puis la série rentre dans son sujet principal. Il faut voir plus loin que l’industrie du porno dans cette histoire, c’est le consentement en générale qui est traité. Car le consentement n’est pas que dire OUI au début. Et c’est là tout la subtilité qui est traitée dans cette série. Et le joli tour de force est de l’avoir traité dans une chronique douce-amère que seuls les Rosbeefs sont capable de pondre.
Au commencement, c'est presque léger "Actrice porno un job comme un autre" puis plus on avance, plus l'histoire est dense, les personnages tout sauf gentils ou méchants... un peu comme dans la vraie vie. Chaque épisodes m'a fait ressentir 10 émotions et me poser des questions plus larges que la sphère dont parle la série. En d'autres mots, une série qui prend aux tripes : cœur et cerveau.
Lancement le 5/10.