Marie, trentenaire, est adepte de la paréidolie. Chaque jour, elle donne vie aux objets du quotidien, véritables miroirs de sa conscience agitée par de nombreux questionnements.
Marie dialogue avec ces choses qui forment des visages en oubliant presque celles et ceux qui l’entourent, car personne d’autre ne les entend : un sac à main qui fait office de conseiller lorsqu’elle doute de sa tenue, son réveil qui l’encourage tous les matins (quand lui-même se réveille...), un interrupteur rabat-joie qui ne se prive pas de se moquer quand elle est dans une situation embarrassante... (source: allocine.fr)