Julie enquête sur le meurtre de Vincent Darras, un avocat renommé. Victime d'une blessure par balle, Darras est mort quelques heures plus tard à l'hôpital. L'enquête s'oriente rapidement vers Philippe Marsollat, un ancien taulard, employé comme jardinier chez Vincent Darras et sa femme Florence. Marsollat nie en bloc mais apprend à Julie que le couple Darras avait des problèmes conjugaux. Kaplan réalise qu'il connaît Florence Darras ; c'est l'ex-femme de son ami Thierry Servier, un ancien flic de la brigade de déminage, avec qui elle a eu une petite fille, Alice. Julie découvre que Florence Darras était sûrement battue par son mari. Mais quand les policiers veulent l'interroger, Florence a disparu avec Alice. Coincée par la BAC dans un parking aérien, Julie parvient à la convaincre de se rendre. Florence avoue avoir tiré sur son mari : il la battait régulièrement. Ce matin-là, elle a eu peur qu'il la tue et elle s'est défendue avec l'arme que lui avait donnée son père. L'affaire paraît bouclée. Mais Kaplan n'est pas de cet avis. Il soupçonne Florence de manipuler la police et d'avoir prémédité l'assassinat de son mari. Selon Kaplan, Florence avait déjà abusé le juge aux affaires familiales, pendant son divorce avec Thierry Servier. Elle avait raconté que Servier la battait pour obtenir la garde exclusive d'Alice. Or, Kaplan en est convaincu, son ami Servier ne battait pas Florence... Le doute s'installe chez Julie. Florence a-t-elle délibérément tué son mari et tenter de faire passer son acte pour de la légitime défense ? Julie a 24 h pour suivre cette piste... qui s'avère vite intéressante. Julie découvre en effet que Florence Darras avait un amant, qui n'est autre que Pascal Nauroy, son propre avocat et surtout, l'associé de son défunt mari ! En outre, Florence va toucher une coquette assurance-vie... L'étau se resserre autour de Florence et de Nauroy qui pourtant clament tous deux leur innocence. Mais un coup de thé