« Les gens à aimer sont rares. Et en plus, on les aime souvent pour de mauvaises raisons. »
François est à Tokyo pour trois semaines. Il vient assister aux répétitions d’une adaptation de plusieurs de ses textes pour le théâtre. Il a dû emmener sa grand-mère qui, à la suite d’une attaque cérébrale, est privée de la parole. Etrangers, contraints au face à face, en terre inconnue, ils s’ouvrent l’un à l’autre, se découvrent pas à pas. Alors qu’elle vit là les derniers moments de sa vie, la vieille dame va redonner à François le goût des choses.