Ce doomscroll documentary explore la relation qui existe entre l’écran de mon iPhone et mon propre corps. Cet appareil est-il la version postmoderne du petit miroir de salle de bain utilisé pour s’explorer ? Ou est-il bien plus proche, non pas devant mais dans mon corps ? De mon désir d’arracher quelque chose à la vanité du doomscroll et de reprendre le pouvoir sur les données que je donne à mon téléphone, sans même y penser, j’ai tenté de documenter ce champ/contre-champ qui nous unit et son étrangeté.