Julie est confrontée à une affaire de viol où la parole d'un présumé coupable, riche banquier, s'oppose à celle d'une jeune femme, Léa. Les preuves matérielles manquent et Julie craint de voir l'enquête sombrer dans une impasse. C'est alors qu'elle découvre que le banquier a déjà été impliqué dans une affaire de viol, la victime s'étant suicidée peu avant le procès. D'où un non-lieu. Julie se convainc peu à peu que ce suicide était en fait un meurtre et que Léa est donc en danger. C'est pourtant dans ce contexte qu'elle comprend que Léa a menti et mis en scène son viol. Pourquoi ? Léa a-t-elle, en manipulant ainsi la police, cherché à venger la précédente victime du banquier ? Julie échoue à mettre à jour des liens entre les deux femmes. Par contre, elle découvre que Léa est la fille secrète d'un homme ayant été ruiné par le banquier qu'elle accuse de viol. Julie finit ainsi par comprendre que Léa a voulu venger son père. Ayant fait des recherches sur le banquier, elle a découvert l'histoire du viol et a décidé de le placer une nouvelle fois en situation d'accusé, certaine qu'il ne pourrait éviter la prison. Mais alors, si Léa est coupable, comment expliquer qu'elle ait été menacée, puis victime d'une tentative d'assassinat ? Julie va finir par comprendre que Léa, manipulatrice, a elle-même été manipulée par un rival du banquier, une sorte de Madoff sur le point de se faire prendre et déterminé à neutraliser tous ceux qui le gênent. En tentant de tuer Léa, cet homme cherchait en fait à faire accuser le banquier, coupable idéal du meurtre de celle qui l'accusait déjà de viol. Sarah tombe sous le charme d'un grand avocat, Jean-Marc Simon. Mais lorsqu'elle découvre que celui-ci a cherché à la compromettre et, par ce biais, à influencer sa mère, tout s'effondre. Au final, Jean-Marc Simon parvient à lui prouver sa bonne foi, laissant ouverte la possibilité d'une relation amoureuse pleine d'ambivalence