Find out what kind of a creature you really are.
James et Em Foster profitent de vacances tous frais payés sur l'île de La Tolqa. Tout se passe comme dans un rêve. Mais un soir, James renverse un inconnu avec sa voiture. C'est alors que se révèlent les dessous monstrueux de la station balnéaire où le tourisme hédoniste se conjugue avec la violence sadique.
Commentaires (5)
Pwaaaaaaaaaa, les Cronenberg père et fils, c’est bien barré quand même… Alors au début, j’ai suivi et, style science-fiction, j’ai trouvé ça pas mal comme idée le coup du clonage pour échapper à la peine de mort et les réactions face à cette situation. Après, on part dans un délire gratuit et incompréhensible, de rédemption, d’amusement à se mutiler, de manipulation, pour mettre des images psychédélico-délirante, du sexe un peu partout… La scène quasi finale (avec le gars face à lui et la tétée) frise le délire, entre introspection psychologique pertinente de quatrième degré rassemblant des théories pointues en parallèles métaphoriques astucieux et foutage de gueule total à l’artistique contemporain faisant n’importe quoi parce qu’il y aura toujours quelqu'un pour crier au génie en voulant se faire passer pour intelligent et dire que lui a compris mais pas toi… Il y a de la qualité ; il n’y a pas d’histoire réelle…
J'ai toujours pas vu Possessor (que je pensais être le premier film de Cronenberg Jr..) du coup je connaissais pas son style et j'ai pas pu m'empêcher de penser au travail de NWR. Ce qui est un très gros compliment. Infinity Pool est terriblement oppressant et malaisant, inconfortable et dérangeant, c'est poisseux, morbide, glauque. C'est extrêmement bien fait et travaillé et le cast est phénoménal. Plus le temps passe plus je tombe sous le charme de Skarsgård et Goth et les avoir dans le même film c'est juste un régal tellement ils sont magnétiques et dingues tous les deux. Pas un film à recommander à tout le monde mais si on aime le cinéma de genre, on ne peut qu'aimer ce film.