Björn Andrésen, de l'éphèbe à l'acteur
Il a été et sera pour l'éternité le jeune adolescent de "Mort à Venise". Sacrifié sur l'autel du septième art, le "plus beau garçon du monde", selon Visconti, a vécu sa vie dans l'ombre d'un double immortalisé sur pellicule. Un documentaire pudique sur l'hiver d'un homme qui a trop tôt donné l'absolu.
Commentaires
Biographie extrêmement confuse dont la thèse du titre est en permanence contredite par les informations lacunaires qu’elle propose. Le jeune homme a-t-il été sacrifié par le 7ème art ? Il partait avec de tels handicaps dans la vie que n’importe quelle expérience, autre que celle du cinéma, l’aurait poussé à la dépression et à l’alcoolisme. Un reportage qui n’instruit pas sur grand’chose.