Quarante ans qu'ils s'aiment et qu'ils s'engueulent !
Maxime est un chef d’entreprise qui fait des heures supplémentaires pour sauver sa compagnie d’ambulances au risque de sacrifier sa femme et ses enfants. Apprenant que sa mère est en garde à vue, il va la sortir de prison… et se le fait aussitôt reprocher. Olga, sa mère, est en effet une femme de caractère. Il apprend qu’elle s’est à nouveau disputée avec son père et décide de la ramener chez elle. C’est l’occasion pour Maxime de passer un week-end loin de ses responsabilités. Chez ses parents, deux sexagénaires qui, depuis quarante ans, s’aiment autant qu’ils s’engueulent. Cette parenthèse joyeuse dans une vie agitée est l’occasion pour le fils de se rappeler d’où il vient. La vie a beau être éphémère et injuste elle peut aussi être envisagée comme une suite de petits bonheurs. D’autant plus qu’ils ont un invité…
Commentaires (3)
Un film (trop) plein de bons sentiments et super maladroitement présenté. Il y a plein de scènes qui m’ont parue inutile, bavarde, pour l’ambiance, mais ça ne m’a ni touché ni intéressé (la première avec Balasko qui rentre dans le lard du mari violent, la quincaillerie)… Diverses scènes qui ne fonctionnent pas pour moi, le grand discours aux gendarmes qui restent plantés comme des benêts après avoir voulu sauter sur Balasko sans motif ni légitimité, les gendarmes qui sont finalement trop gentils… L’empilage d’histoire, Jugnot et sa femme, Cornillac trompé par la sienne qui veut recoller les morceaux, lui qui ne s’en sort plus avec sa société d’ambulance, le gamin qu’on cache, le pote au champignon (autant j’adore Pierre Richard autant on se demande ce qu’il vient fiche là), la belle-fille de Pierre Ricahrd (alors là, on s’éloigne tellement qu’on s’en carre total !). Bref, un film qui a des côtés attachants mais qui est super bancal.
le film dont je n'avais pas du tout entendu parlé en dépit de sa distribution. L'affection dans les regards qu'ils ont les uns pour les autres, on sent qu'ils s'apprécient. Les dialogues sont un régal, et Clovis Cornillac, si c'était encore possible, est conscient d'apprendre toujours en observant Balasko/Jugnot. La justesse des situations de famille^^.
Une superbe leçon de vie, avec beaucoup d'humour.