D'après une invraisemblable histoire vraie.
En 1961, Kempton Bunton, un chauffeur de taxi sexagénaire, vole à la National Gallery de Londres le portrait du Duc de Wellington peint par Goya. Il envoie alors des notes de rançon, menaçant de ne rendre le tableau qu’à condition que le gouvernement rende l’accès à la télévision gratuit pour les personnes âgées. Cette histoire vraie raconte comment un inoffensif retraité s’est vu recherché par toutes les polices de Grande Bretagne, accomplissant le premier (et unique) vol dans l’histoire du musée.
Commentaires (4)
Petit film très sympathique, même si prévisible. Je ne savais pas qu'il était tiré d'une histoire vraie donc je ne connaissais pas l'histoire en amont mais la réalisation du film et la sympathie que l'on ressent pour Bunton nous fait très vite comprendre la fin. Il n'en reste que les acteurs sont très bons et que l'histoire se suit agréablement. En bref, un bon moyen de passer 1h30.
Une histoire intéressante et improbable d'un vol de tableau. J'ai vraiment aimé le style du film avec les images styles d'époques. Le personnage est joviale et sympathique et on a vraiment pas envie de le voir croupir en prison. Dans le bonus du film, on voit le petit-fils parlait du film et dire que son père a bien aimé le résultat.
La chronique d'un homme qui à lui tout seul veut combattre les injustices. Le film se pose dans la vie quotidienne et pas dans le chevaleresque d'un Don Quichotte mais les acteurs sont bons et l'histoire bien qu'anecdotique a eu son heure de gloire (cf : la reprise dans James Bond et autres supports).
Alors oui, c’est bien fait. Mais c’est très anecdotique… Le monsieur se bat contre la redevance sans qu’il ne semble jamais être pour rien dans le résultat, il est gentiment bonhomme mais ni truculent ni mystérieux ni hyper intelligent… J’ai l’impression que le réalisateur a fait une excellente reconstitution mais fade, passant à côté de ce qui faisait l’intérêt du bonhomme : sa défense des autres et ses bons mots au tribunal… Hélas, cela comme les éléments importants sont glissés entre des scènes qui n’ont pas d’intérêt et de façon fade. Sa bru, par exemple, qui dit savoir, c’est posé sans saveur, sans suspense, sans réalisation particulière, de façon très banale, au milieu d'une balade et d'un repas qui n'apportent rien à l'ensemble... Manque d'ampleur et d'envergure.