Chanteur dans son enfance, il vit désormais reclus, traumatisé par ses expériences passées, et se complaît dans ses blessures jusqu'au jour où une femme le redécouvre.
Intimiste, contemplatif, photographie fascinante même, mais faire passer 4 émotions, une toutes les 20 minutes, ça s’appelle du foutage de gueule. C’est rare qu’un film me touche aussi peu.
Bananita
Jorge Garcia réalise un tour de force dans un film intimiste et contemplatif. Simple, beau et efficace.
Commentaires (2)
Intimiste, contemplatif, photographie fascinante même, mais faire passer 4 émotions, une toutes les 20 minutes, ça s’appelle du foutage de gueule. C’est rare qu’un film me touche aussi peu.
Jorge Garcia réalise un tour de force dans un film intimiste et contemplatif. Simple, beau et efficace.