Le photographe Estevan Oriol et le tatoueur-graffeur Mister Cartoon ont puisé dans leurs racines chicanos un art intense qui influence la culture urbaine et le hip-hop.
Prenant,intéressant,motivant.Ce documentaire d'estevan oriol (dont le travail est admirable), m'as captiver. Le moment où un chanteur mexicain (je pense), chante acapella m'as grave plus.Étant caraibéen, ça m'as direct fais penser au bèlè et au gwoka.j'ai largement préféré les parties qui parlait des gangs et du milieu low rider, car ça parlait plus de culture, que les chapitres avec les artistes rap, parce que ça n'allait pas vraiment en profondeur, mis à part les sections avec le groupe dont lequel Estevan Oriol s'est occuper.Le réalisateur devrait faire une série sur les gangs mexicains ou les lows riders, j'suis sûr que ça tuerait
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Prenant,intéressant,motivant.Ce documentaire d'estevan oriol (dont le travail est admirable), m'as captiver. Le moment où un chanteur mexicain (je pense), chante acapella m'as grave plus.Étant caraibéen, ça m'as direct fais penser au bèlè et au gwoka.j'ai largement préféré les parties qui parlait des gangs et du milieu low rider, car ça parlait plus de culture, que les chapitres avec les artistes rap, parce que ça n'allait pas vraiment en profondeur, mis à part les sections avec le groupe dont lequel Estevan Oriol s'est occuper.Le réalisateur devrait faire une série sur les gangs mexicains ou les lows riders, j'suis sûr que ça tuerait