Oserez-vous prononcer cinq fois mon nom ?
Remake du film d'épouvante Candyman, dont le scénario a été écrit par Bernard Rose (1992), d'après la nouvelle de Clive Barker, The Forbidden. Les habitants de Cabrini Green, une des cités les plus insalubres de Chicago, ont toujours fait circuler une effroyable légende. Cette légende est celle d’un tueur tout droit sorti de l’enfer, ayant un crochet en guise de main, qui pourrait apparemment être invoqué, très facilement, par qui l’oserait : il suffit de répéter son nom cinq fois devant un miroir. Dix ans après la destruction de la dernière tours de Cabrini Green, l’ancienne cité a été complètement nettoyée et reconvertie en résidence réservée à une classe sociale jeune et aisée. C’est là que l’artiste peintre Anthony McCoy et sa petite amie Cartwright, directrice de galerie d’art, emménagent dans un luxueux appartement.
Commentaires (11)
Le Beetlejuice du pauvre… Là où ce dernier était drôle, inventif, visuel, ce Candyman est poussif. Rien que son nom, faut le prononcer 5 fois au lieu de 3 pour les grands classique… Le film est à l’image de ce choix, c’est long, c’est bavard, on passe d’un truc à l’autre – je me suis endormi ou les lycéennes, c’était juste pour meubler ??? – en attendant la fin. Ça se veut trop sérieux pour être efficace.
Je me disais que le scénario était d’une nullité affligeante. Si j’avais su que c’était Jordan Peele aux manettes, j’aurais compris tout de suite et me serait abstenu. Ce type me doit des heures de vie.
Cette nouvelle adaptation de "Candyman" par Nia DaCosta est une terrible déception. Souffrant d'un rythme lent, d'une réalisation visuelle peu convaincante et d'un développement de personnages insatisfaisant, le long-métrage d’horreur n’a rien de passionnant. Les scènes d'horreur manquent malheureusement de tension et la mise en scène reste trop classique. De plus, les personnages n’ont rien d’attachants et manquent cruellement de profondeur. Le traitement maladroit des sujets abordés dans le film ne parvient pas à livrer les frissons et l'impact émotionnel attendus. En somme, "Candyman" est un film raté, son exécution peu innovante et son scénario inconsistant peine vraiment à convaincre. - 8/20 Critique sur Candyman (film) Vu le 27.07.2023 sur Prime Video
Wah la claque il est trop bien 😍😍😍😍🤯
Horrible c est d une tristesse ce film
Ridicule
Mouais. Ça se laisse voir mais on est très loin du choc que j'ai ressenti à la vsion du premier film avec Virginia Madsen et Tony Todd, film que je ne me lasse pas de revoir. Et la musique de Philip Glass m'a énormément manqué.
Les mauvaises critiques sont abusées. Bah oui, c'est -12 ans, beaucoup moins sanglant, beaucoup moins effrayant visuellement parlant. Mais le propos du film est une réinvention totale du mythe, beaucoup plus sociale et politique encore que le premier film. C'est produit par Jordan Perle hein, qui a une vision de la société quasiment hybride entre Spike Lee et John Carpenter. Bien sûr, que les "blancs vite offusqués" vont péter un plomb comme ils l'ont fait devant Antebellum (tiens donc, pourquoi ? D'où vous vient-elle, cette émotion ? 🙄) ! Mais on s'en fout non ? Quand on aime le premier Texas Chainsaw Massacre, New York 1997, Invasion Los Angeles, Hellraiser, Candyman, La dernière maison sur la gauche ou À nightmare on Elm Streets, normalement, on se classe plutôt à gauche sur l'échiquier politique... ou alors, on a rien analysé et rien compris au propos des films qu'on aime. Bref, passé le sujet de la polémique autour du film, celui-ci est très soft dans sa violence, mais très abouti visuellement. C'est une très bonne idée pour raccrocher un peu les ados à des idéaux plus égalitaires, en ces temps où l'idéologie vire au totalitarisme... Excellent film pour faire entrer un adolescent dans le coeur du mythe Candyman.