Jean vit avec Marie, la femme qu’il aime depuis trente ans. Mais il est également amoureux d'une jeune femme et l’avoue à sa femme. Marie, amoureuse d'un homme de son âge, demande à Jean de la laisser partir, mais Jean ne veut pas. Il aime bien sa vie : sa jeune maîtresse l'après-midi et sa femme le soir. Au bout du rouleau, Marie demande à son amant, pharmacien, de lui fabriquer un poison. C'est ça ou elle le quitte. Le pharmacien, qui aime Marie par-dessus tout, s’exécute. Jean boit le poison… mais ne meurt pas. Il faut recommencer l'assassinat. Jean ne meurt toujours pas. Il faut re-recommencer. Mais jusqu'à quand va-t-on tenter de tuer ? Une très belle leçon de vie et d'espoir parce que : « Tant qu'il y a de l'amour »… C'est pas mort.
Commentaires (2)
J’étais bien parti. Le couple qui se dit ses vérités sur ce qu’ils pensent de l’autre ou leur relation extra-conjugale, c’est sympa et décalé – c’est déjà arrivé mais ça change des mensonges habituels de ce genre de pièce. Bon, Bègue fin amoureuse de Chesnais, je n’y crois pas une seule seconde, dommage… Bon, que Chazel veuille tuer Chesnais, Le Poulain et Maillan l’ont déjà hautement mieux réussi, dommage… Après quoi, la pièce sombre… Ça tourne en rond, ça blablate, ça se répète, ça s’étire… Pour une raison qui m’échappe, comme dans une autre pièce que j’ai vue, Chesnais se met à beugler sans réelle raison, pour faire croire qu’il est drôle mais ça ne marche pas… Et si j’étais pas trop mal parti, j’ai fini par espérer que la pièce s’arrête…
J'ai adoré !! Bonne rigolade