Jeanne et Johanna partagent tout, le même prénom ou presque, la même passion pour la musique, le même groupe, «Les Sirènes», et les mêmes petits bals du samedi soir qu'elles écument laborieusement dans les environs de Decazeville, leur ville d'origine. Un concours à Toulouse fait basculer leur vie. Les groupes n'étant pas invités à monter sur scène, c'est Johanna, l'extravertie, qui se démène derrière le micro, mais c'est la voix et les compositions de Jeanne qu'entendent le public et le jury. Le succès est immédiat et fulgurant. En quelques disques, Johanna devient une immense vedette. Ni Jeanne ni Johanna n'ont eu le courage de révéler la supercherie. Jeanne se sent de plus en plus à l'étroit dans son rôle de faire-valoir...
Commentaires
Manque de nuance. Jeanne la gentille paraît finalement être une plus grosse garce que la vilaine Johanna.