Le dernier article qui vous fascinera est maintenant révélé !
Le journal américain The Evening Sun de Liberty dans le Kansas possède une antenne nommée The French Dispatch à Ennui-sur-Blasé, une ville française fictive évoquant Paris dans les années 1950-60. Arthur Howitzer Jr., le rédacteur en chef du French Dispatch, meurt subitement d'une crise cardiaque. Selon les souhaits exprimés dans son testament, la publication du journal est immédiatement suspendue après un dernier numéro d'adieu, dans lequel trois articles des éditions précédentes du journal sont republiés, ainsi qu'une nécrologie : Les trois articles traitent de Moses Rosenthaler, un détenu psychopathe qui se révèle être un grand artiste peintre, des évènements de Mai 68 et enfin d'une enquête gastronomique qui vire au polar.
Commentaires (13)
Au vu des commentaires, je ne pensais pas aimer (j'aime les films de Wes Anderson la plupart du temps, certains beaucoup, d'autres beaucoup moins, mais je leur reconnais tous un travail de dingue dans la minutie de la réalisation), mais je me suis finalement lancée. Et je ne le regrette pas, j'ai beaucoup aimé, même si j'ai eu du mal à suivre parfois (j'ai fait pause plusieurs fois) : (dans le désordre) la loufoquerie, les plans et les cadrages, toujours ce côté pièce de théâtre, et même pièce de théâtre dans une pièce de théâtre, elle-même dans une histoire racontée par les journalistes qui l'ont écrites, avant ou après publication, le découpage du film en « rubriques » (peut-être parce que j'évolue dans ce milieu, la presse), le passage de la couleur au noir et blanc, du français à l'anglais, la partie dessinée. Et tous ces acteurs et actrices, c'est fou ! Toujours un plaisir de retrouver Bill Murray dans un film d'Anderson. Et le nom d'Ennui-sur-Blasé n'est pas anodin : plusieurs thèmes reviennent, la solitude, le spleen, l'attente, la tristesse, la désillusion, la mélancolie. Vraiment une bonne surprise. On verra si Asteroid City me plaira autant.
Peut-être pas dans le mood au moment de son visionnage. Certainement pas inintéressant avec les différentes techniques utilisées et le casting, mais j’avoue qu’il m’a été assez difficile de suivre les 3 récits.
Chic mais un peu toc . Perfection Formelle mais vide narratif . Dommage...
C''est très conceptuel ! J'ai eu du mal à accrocher. Par contre, la mise en scène, les décors et se florilège d'actrices et d'acteurs whaouu ! Mais c'est quand même compliqué de s'y accrocher.
Du Anderson jusqu'au bout des décors mais des histoires très inégales. La première est top. La 2eme part en sucettes vers le milieu et la dernière est passable. Dommage.
Je ne suis définivement pas une grande fan des films de Wes Anderson, je ne vois pas pourquoi je persiste. Néanmoins je mets 3* parce que je ne peux pas dire que c’est un mauvais film mais je n’ai pas particulièrement aimé. 😓
Film à sketchs un peu loufoque mais d’une grande inventivité ! Un univers BD avec un casting de ouf. Tout est très précis et esthétique. Un peu de Tati, de Tim Burton ou de Jeunet.
Un bon Wes Anderson qui étonnement ne tirent pas trop sur les clichés de la France... hormis le fait que quasi tout le monde fume x)
Emballé et déçu à la fois. La déception vient de l’histoire qui n’est pas foncièrement intéressante. Certes, le fil rouge est solide mais ça reste un film à sketchs, un ensemble de courts métrages inégaux… La présentation de la ville m’a indifféré, l’artiste m’a accroché d’un côté et passé au-dessus de l’autre, la revisite de mai 68 ne m’a pas branché… Et l’enlèvement m’a assez plus, même si ce n’est pas l’histoire du siècle… Pour autant, l’ensemble d’un film est un véritable festival de créativité, de tableau arrêté, d’images blindées de détails, de travellings sans fin, de références avec une pléiade de comédiens talentueux. Probable que dans 10 ans, je ne me souviendrai plus de ce que ça raconte, mais rien que pour l’inventivité, ça mérite d’être vu plusieurs fois pour profiter de tout !
Des longueurs oui, mais je me suis vraiment régalée. Un petit bijou dans cette ambiance morose. Merci Wes Anderson de nous raconter des histoires avec poésie.
On l'aura attendu des plombes ce nouveau film de Wes Anderson et franchement ? L'attente en valait pas du tout le coup. Le concept est intriguant et intéressant mais le produit fini est masturbatoire au possible, le concept lui meme est un frein terrible au film, qui est en réalité un collage de courts métrages indépendants entre eux et malheureusement tous aussi inintéressants et fades les uns que les autres. Pour dire les choses franchement : on se fait chier devant The French Dispatch. Les personnages ne sont pas attachants ou intéressants, les histoires courtes semblent durer des plombes tant elles sont creuses et dénuées d'intérêt et meme la musique m'a gonflé. Niveau production, real, technique, c'est du Wes Anderson tout craché mais même là, ca m'a un peu ennuyé. À force, ce style est gavant s'il n'a pas d'intérêt. Dans The Grand Budapest Hotel (chef d'œuvre au passage), tout fonctionne car tout fait sens. Ici, tout me semble forcé et excessif, oui Wes on sait ce que tu sais faire t'inquiète, on a pas besoin de tout voir. Ca reste quand meme plaisant à voir car c'est pas si commun que ca des films si picturaux où y a une telle attention à la composition d'image et au style. Bref, grosse déception pour moi, et un cast absolument titanesque qui brasse de l'air pendant 1h30.
Bien pour son originalité mais pas pour son histoire. De belles séquences de films, de belles techniques mais les histoires racontées sont compliqué à suivre