Il n'y a pas d'arnaque sans pigeon.
Un arnaqueur évite les agressifs. Et encore plus les agressifs armés. Solal a oublié cette règle. Résultat, il est mort, assassiné par un mauvais perdant. L'affaire aurait dû en rester là. Mais Solal a un frère : Cash. Et Cash a décidé de le venger. À sa manière. En élaborant une arnaque de haut vol. Toutefois, l'adversaire est sur ses gardes. Et Cash et ses amis se sont peut-être attaqués à plus fort qu'eux... Dans ce genre d'opération, les alliances se font et se défont, les complices sont parfois des traîtres et les traîtres des complices. À la fin, une seule chose compte : qui est le pigeon ?
Commentaires (2)
C’est pas que ça soit mauvais… C’est que derrière le clinquant, le sourire de Dujardin, on sent qu’il manque un truc pour se la jouer Ocean Eleven et autres films de braquage américain… On est plus du niveau de la série Leverage ou d’un film de Poiré… Et puis il y a d’une part un méga empilement. Untel prend untel pour un pigeon mais untel fait pareil avec untel sachant qu’untel tente de bluffer untel qui bluffe untel… Au bout d’un moment, on ne sait plus très bien qui veut arnaquer qui… Alors tout se résout dans les 5 dernières minutes mais en attendant, y’a un moment où ça m’est passé au-dessus… Et puis d’un autre côté, c’est tellement évident que tout le monde cherche à arnaquer tout le monde qu’on voit des trucs venir… Donc, ça passe mais ça manque carrément de panache…
Un film qui se veut dans le style des Ocean's, mais malheureusement, en beaucoup moins bien...