Ayka vient d'accoucher. Elle ne peut pas se permettre d'avoir un enfant. Elle n'a pas de travail, trop de dettes à rembourser, même pas une chambre à elle. Mais c'est compter sans la nature, qui reprendra ses droits.
Dur à voir ce film qui suit cette jeune femme en quasi-réalité, qui se meut dans un monde parallèle - le quart monde.
Frappant est l'absence de musique, pas de répit pour le spectateur, il n'y a que la lutte de survie d'Ayka. Par moment j'avais envie de crier, mais arrête toi donc, dort, cesse de courir, cherche de l'aide, y a-t-il donc personne ... Mais pour elle il n'y a que cette course effrénée qui puisse la maintenir en vie.
Un scénario construit comme un documentaire. Pendant 7 ans Sergei Dvortsevoy a travaillé dans le milieu de l'immigration de Moscou. Pas de subsides, car ceux-ci sont réservés à la glorification de la petite mère patrie (sic).
Et puis il y a Samal Eslyamova, quelle prestation !
Chapeau ! Les nombreux prix amplement mérités.
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Dur à voir ce film qui suit cette jeune femme en quasi-réalité, qui se meut dans un monde parallèle - le quart monde. Frappant est l'absence de musique, pas de répit pour le spectateur, il n'y a que la lutte de survie d'Ayka. Par moment j'avais envie de crier, mais arrête toi donc, dort, cesse de courir, cherche de l'aide, y a-t-il donc personne ... Mais pour elle il n'y a que cette course effrénée qui puisse la maintenir en vie. Un scénario construit comme un documentaire. Pendant 7 ans Sergei Dvortsevoy a travaillé dans le milieu de l'immigration de Moscou. Pas de subsides, car ceux-ci sont réservés à la glorification de la petite mère patrie (sic). Et puis il y a Samal Eslyamova, quelle prestation ! Chapeau ! Les nombreux prix amplement mérités.