Hiver 1945. Dans l'enfer du "Stalingrad Alsacien"
Janvier 1945. Les troupes d’élites du 1er régiment de parachutistes français, combattant sur le sol Français depuis novembre 1944, et déjà durement éprouvées par la campagne des Vosges, entrent de plein pied, aux côtés de soldats américains, dans ce qui sera un des épisodes les plus meurtriers de ce début d’année. En effet, les combats pour la libération du village Alsacien de Jebsheim seront si acharnés qu’on surnommera plus tard cette bataille, le « Stalingrad Alsacien ». Le caporal Hénaq, du côté français, et le lieutenant Shaffer, du côté américain, font tous deux partie des sections qui sont chargés de nettoyer de toute présence ennemie le bois bordant le village, et tenir ensuite les positions, condition indispensable à la prise de Jebsheim.
Commentaires (4)
Je commence vraiment à avoir du mal avec le cinéma français (hors comédie), à croire que c'est obligatoire de faire des films mou aux dialogues chiant, et c'est d'autant plus craignos quand il s'agît d'un film de 39-45 !! J'ai vraiment hésité au début à quitter, mais finalement, on arrive un peut à se mettre dedans. Surtout quand les premiers morts arrivent en fait, car le début c'est surtout des plaintes de soldats et des encouragements pour ceux qui sont en train de vriller mais franchement très mal joué: ce n'est pas convainquant, aucune émotion ne se dégage de ça et je suis pourtant hyper sensibles aux films sur la Seconde Guerre Mondiale. C'est tout le problème majeur du film en fait: acteurs et dialogues, parce qu'outre ceci et en arrivant à faire abstraction du fait que ce n'est pas un superproduction américaine qui a coûté des milliards, ce n'est pas si mauvais, mais il faut vraiment avoir une vue d'ensemble sur tout le film pour se faire un avis. On y apprend même quelques petites infos intéressante, et malgré tout dans l'ensemble, j'ai quand même réussi à apprécier le film. A petite dose, mais à l'apprécier Les scènes (les effets) de bataille ne sont pas si mal, la façon de filmer l'est moins. Il n'est pas nécessaire de filmer plusieurs fois dans le même combat les tirs de mortier sur un plan, et de filmer l'explosion du tir sur le second plan... Un tir de mortier s'intègre parfaitement en arrière plan, alors que les soldats sont au premier, filmé en train de se faire éclater par les tirs d'en face. Sa rend la scène quand même plus violente, parce que les explosions dans le vide, bon... Idem pour les soldats en train de tirer: vous pouvez mettre plusieurs soldats se prendre une balle dans la même scène, parce que juste voir un mec tomber, c'est marrant deux secondes mais bon, il y a un moment où ça deviens assez redondant. En bref: C'est intéressant pour l'histoire, le visuel passe, les dialogues nuls. C'est tout simplement très moyen.
Dialogue horrible, jeu d'acteur moyen, ya mieux pour passer 2h20.
Je me suis fait exactement la même réflexion que @Cyrillel. A savoir un film fait par et pour un groupe de reconstitution historique. Je note néanmoins de nets progrès par rapport à la Croisée des Chemins (2007) du même David Aboucaya. L'image et les effets spéciaux sont nettement meilleurs. Il n'empêche qu'on reste très loin des standards professionnels.
J'ai été extrêmement déçu. Je m'attendais à un long métrage qui aurait pu avoir une mise en scène proche de celle d'un autre film de guerre français très réussi, "Indigènes". Mais ici la réalisation est catastrophique. Point de réalisme, on dirait un groupe de reconstitution historique de la guerre 39-45 filmé par un amateur. J'ai coupé court...