These delusions are contagious
Fils d’une modeste domestique, le docteur Faraday s’est construit une existence tranquille et respectable en devenant médecin de campagne. En 1947, lors d’un été particulièrement long et chaud, il est appelé au chevet d’une patiente à Hundreds Hall, où sa mère fut employée autrefois. Le domaine, qui appartient depuis plus de deux siècles à la famille Ayres, est aujourd’hui en piteux état, et ses habitants – la mère, son fils et sa fille – sont hantés par quelque chose de bien plus effrayant encore que le déclin de leurs finances. Faraday ne s’imagine pas à quel point le destin de cette famille et le sien sont liés, ni ce que cela a de terrifiant…
Commentaires (3)
Un film qui hésite entre différents genres (thriller, psychologie, épouvante, satire sociale) et qui au final n'en choisit aucun. Dommage car il y avait du matériel pour bien faire.
Histoire un peu mal fichue. C’est longuet. On sent que le doc est pas net mais bon c’est mal montré, mal expliqué. On veut faire passer ça pour une histoire de fantômes avec une petite fille. Ah mais d’ailleurs elle sert à rien cette petite. J’attendais une sorte de révélation avec elle vu qu’elle est le déclencheur de cette obsession malsaine. Mais pourquoi on en arrive là en faite? Normalement comme le commentaire avant moi j’aime ce genre de film, mais là c’est pas terrible. Un peu déçue. Presque 2h pour, bah rien clairement. C’est plat, sans consistance. Il manque quelque chose à ce film
Habituellement ce genre de film et d'ambiance sont ma tasse de thé. Mais la limite est toujours fine entre creepy-fascinant et creepy-malaisant, ici ça a été le second ressenti pour moi. Beaucoup de tristesse et de désespoir, plus que de mélancolie. Évidemment qu'on sent que ce Dr est vraiment pas net, que son obsession est étrange, et que tout est lugubre. Mais trop de questions restées en suspens (j'aurais bien besoin de lire tout un tas de théorie maintenant parce que c'est bien la première fois que j'en ai aucune) et une histoire de fantôme promise qui arrive un peu trop sur le tard.