Come along for the ride.
Wonder Wheel croise les trajectoires de quatre personnages, dans l'effervescence du parc d’attraction de Coney Island, dans les années 50 : Ginny, ex-actrice lunatique reconvertie serveuse ; Humpty, opérateur de manège marié à Ginny ; Mickey, séduisant maître-nageur aspirant à devenir dramaturge ; et Carolina, fille de Humpty longtemps disparue de la circulation qui se réfugie chez son père pour fuir les gangsters à ses trousses.
Commentaires (3)
Je ne saurai trop dire ce qui m’a manqué… Le jeu des comédiens est excellent, la reconstitution d’époque est parfaite. La trame principale est très bonne avec cette femme qui voudrait sortir de là, son amant, la concurrente… Peut-être que la trame du maffieux qui cherche la fille est trop « facile » même si c’est bien utile par la suite. Ou l’histoire du gamin pyromane que j’ai pas bien compris ce qu’il venait faire là… L’ensemble est très bon mais j’aurais bien aimé quelque chose de plus intense encore…
Même si l'histoire est cousue de fil blanc et que l'on sent bien que tout ça va mal finir, ce que j'aime dans les films de Woody Allen ce n'est pas tant la chute finale mais comment il y parvient. La façon de filmer est un peu spéciale, irréelle, mais cela donne une ambiance au film très spéciale, qui perso m'a beaucoup plus. Le style de narration en face caméra du personnage de Mickey m'a moins convaincu, surtout qu'à la fin c'est totalement abandonné, ce qui manque de logique. J'ai passé un bon moment de cinéma.
Je m'accroche à Woody parce qu'il est Woddy... Mais ce film m'a profondément fait ch*er ! Au bout de 20 minutes j'ai compris que la séance serait longue... L'histoire est bien oui, oui, mais au final pas tant que ça. Et cette lumière orange là, pitié ! La plupart du temps elle n'a rien à faire là et elle ne raconte rien ! Des passages du orange vif au bleu profond, on pourrait penser qu'il y a un message derrière, mais non, rien, que dal ! C'est nul, plat, criard à l'image pour rien, trop de plan séquence tue le plan séquence. Il n'y a que le jeu de Kate pour rattraper le tout...