De retour du front où elle apprit que son mari était porté disparu au combat, Duyen est tellement terrassée par la douleur qu’elle tombe dans la rivière pendant la traversée en bac. Sauvée de la noyade par l’instituteur Khang, elle fait de lui un ami et confident. Pour cacher la vérité à son beau-père gravement malade, elle demande à Khang d’écrire des lettres factices et de lui envoyer chez elle comme si de rien n’était. La complicité intime naissante entre lui et Duyen n’est pas du goût de sa petite amie et de ses collègues à l’école. Pour que cesse la médisance, Khang est muté ailleurs. Le beau-père est au seuil de la mort. Il implore sa belle-fille d’envoyer un télégramme pour faire revenir son fils. Sur la route vers le bureau de poste, elle croise un convoi [email protected]