Falling Down

Vu une première fois, en étant passé à côté, quasi fade par rapport à d'autres sur le même thème. Le revoir en 2023. Etre plus curieuse du contre-emploi en brosse de Douglas que de son jeu en lui-même. Les dialogues en revanche, oui. L'économiquement viable reste valable 20 ans plus tard, pas grand chose a changé dans cette Amérique-là (seulement les USA ?). Je tique sur des propos misogynes qui faisaient surement virils toujours en 1993... dont Duvall dans sa dernière conversation téléphonique. La chute libre est économique, et derrière c'est l'homo (economicus blanc hétéro) qui perd l'équilibre. La peur de disparaître et d'être inéluctablement oublié sans rôle dans la société (ou un autre non accepté/validé/homologué par la tradition/l'éducation) : le manifestant dans la voiture de police, transmettre un héritage financier, rester sur la pellicule : on est tous les 3 ans dans le film. Trompe l'œil de la vie d'un acteur/d'un interprète. Toujours vivant tant que quelqu'un les regarde à l'écran.... La petite phrase de Duvall sur la valeur qu'un adulte peut représenter seulement par la qualité de sa descendance... le réchauffement climatique n'était pas assez côté en 1993^^. Si ce film était refait aujourd'hui, Douglas prendrait du fentanyl et déambulerait comme un zombi dans les rues. Solution chimique à moindre coût, même espérance de vie (peut-être même plus courte s'il commence après le divorce).

Vu une première fois, en étant passé à côté, quasi fade par rapport à d'autres sur le même thème. Le revoir en 2023. Etre plus curieuse du contre-emploi en brosse de Douglas que de son jeu en lui-même. Les dialogues en revanche, oui. L'économiquement viable reste valable 20 ans plus tard, pas grand chose a changé dans cette Amérique-là (seulement les USA ?). Je tique sur des propos misogynes qui faisaient surement virils toujours en 1993... dont Duvall dans sa dernière conversation téléphonique. La chute libre est économique, et derrière c'est l'homo (economicus blanc hétéro) qui perd l'équilibre.

Excellent film de Joel Schumacher Une montée en puissance jusqu’au duel final entre le gentil et le méchant Assez classique dans l’ensemble mais la prestation de Michael Douglas fait le tout Il est bluffant en un homme froid,bourrée d’humour noir,motivé par son but Robert Duvall est très bon aussi,il est très à la cool qui colle parfaitement avec la psyché de Michael Douglas Au début on pense à un homme lambda qui se retourne contre la société mais a la fin,on apprends qu’il est pas tout blanc non plus et qu’il est un peu psychopathe sur les bords et c’est très fort ( surtout pour l’époque ) Pareil que eb51,je serais aussi curieux de voir ce film en 2023,si il cocherait toutes les cases

Bon film en effet; je serais curieuse de voir ce qu'il donnerait si il était fait de nos jours. Mine de rien , il a presque 30 ans et ça se voit. Le casting est très bon surtout Michael Douglas et Robert Duvall mais rien d'exceptionnel non plus.

Film assez classique. Les acteurs sont plutot bons mais ce n'est pas extraordinaire non plus. Quelques passages intéressants avec quelques recherches sur l'image (la scène du miroir dans le magasin) mais rien non plus d'extraordinaire. Pour l'histoire, on suit des sortes de scénettes qui sont censées nous faire suivre le parcours de Douglas mais j'ai eu du mal à vraiment accrocher à ce personnage un peu excentrique et marginal mais pas trop non plus. On essaye de nous faire croire que c'est monsieur tout le monde mais en fait non.

Très très bon film. Michael Douglas est parfait dans le rôle d’un ingénieur sur la crise de nerf après avoir tout perdu sa fille, sa femme, son job. Robert Duvall en flic ultra calme à deux minutes de la retraite qui le traque est tout aussi performant.