Prononcer "DIQUENÈQUE"
JC et Stef sont des amis d'enfance. Inséparables. JC est LE dikkenek belge, un donneur de leçon à cinq balles, un moralisateur, un tombeur de minettes, bref une grande gueule intégrale, coiffé comme un peigne. Stef est tout le contraire. Il cherche le Grand Amour, mais vu qu'il ne bouge pas de son lit, il va avoir du mal à trouver. JC lui explique donc la méthode : faire un sans-faute du point A jusqu'au point G. Entre ces deux points, JC et Stef vont croiser : Claudy, le directeur des abattoirs d'Anderlecht et photographe amateur (de chair fraîche), Greg, un bébé-manager vissé à son portable, Natacha, une nymphette désœuvrée, Fabienne, une pauvre petite fille de riches, Nadine, une institutrice qui préfère la schnouf aux tables de multiplication, ainsi que Laurence, une commissaire de police fâchée avec les conjugaisons, qui ponctue ses phrases à coups de gros calibre.
Commentaires (5)
Bon, alors là, j’ai pas trouvé l’intérêt. Sûrement que les comédiens se sont bien amusés dans ces situations rocambolesques aux personnages exagérés mais franchement, ça s’agite, ça bavasse, ça part dans tous les sens… J’ai jamais réussi à accrocher.
C'est.... Voila.
Quel ovni
Perdez pas votre temps. C'est juste une daube. Ça vaut rien. J'ai rarement vu un film aussi nul. On a un peu l'impression d'une suite de mauvais sketches sans aucun lien entre eux.
Ce genre de film que tout le monde apprécie dans mon entourage mais que je déteste au plus au point. Vulgaire, sans intérêt, humour pipi/caca, à se demander ce que fout une Cotillard là-dedans, mais, après tout, elle a fait de tout. Chacun ses goûts mais de nouveau, on a un François Damiens trop connu et qui de nouveau fait passer les Belges pour de gros imbéciles vulgaires et peu frais avec un accent imaginé dans le fin fond d'une cambrousse de consanguins.