Evil. Terror. Lust.
1851. Elvira et sa servante sont en route pour Paris afin d'assister à une revue de French can-can. Une nuit, elles se réfugient dans le château de Vladimir Hellsubus dont la femme morte depuis longtemps ressemble fortement à Elvira...
Commentaires
Ben c’est comme le premier. Sauf que c’est moins bien… Là, on est en 1851, pourquoi pas. Mais ça nous fait perdre tout le côté contemporain dans lequel Elvira paraissait décalée. Là, elle est plus à sa place dans ce monde de Carpates, plus de décalage, plus de banalités… L’histoire qui, dans le premier, était plein d’humour décalé, est ici plus plate, plus banale. Ça ne marche pas, ça ne décolle pas et ça en devient long même si on voit bien qu’ils s’amusent autant que dans le premier… Mais non, moins bien.