Love is never just black and white.
Bruno, architecte reconnu, marié depuis onze ans et père d'un petit garçon, ne se reconnaît plus dans sa vie toute tracée. En panne d'inspiration pour son nouveau projet, il commence à travailler avec Fernando, un jeune professeur d'histoire reconverti en guide touristique. Gay assumé et bouillonnant d'énergie, Fernando va bouleverser l'univers de Bruno...
Commentaires (5)
Pas le meilleur du genre. Je comprends pas bien la réflexion de Bruno, comment on en arrive là... Je perçois pas le trouble chez lui. Et la fin, pas de conclusion, pas de révélation, dommage... (Litote déteste les fins ouvertes !!)
Bruno, en pleine crise existentielle, beau comme une statue de dieu grec, rencontre Fer, sûr de son identité, vif et éloquent, beau comme, euh… un philosophe grec ! On accompagne Bruno et son errance dans la ville (Fer lui sert de guide à Santiago), dans le temps (Fer est prof d’histoire), dans sa culture (Chili originel vs Chili colonial), dans sa sexualité hésitante. Forcément on devient un peu perdu, comme lui. Film très érudit, assez contemplatif, qui rejette tout happy ending trop facile. J’ai beaucoup aimé.
Dans ce genre, j'ai préféré taekwondo. Merci à l'amérique du sud pour nous faire de si jolis films LGBTQ