Pour certains hommes, la terre et l’eau sont plus précieuses que la chair et le sang.
Petit et laid, Ugolin, le dernier des Soubeyran, revient du service militaire. Il retrouve son oncle, le Papet, à qui il dévoile son projet : rester au pays pour cultiver des œillets. Convaincu que l’affaire peut être rentable, le Papet accepte de financer l’entreprise. Il faut donc trouver une terre, ensoleillée bien sûr mais surtout bien arrosée. Celle de Pique‐Bouffigue ferait l’affaire. Le Papet tente, en vain, de convaincre le vieillard irascible de lui céder son bien. Celui‐ci perd la vie dans le bref affrontement qui s’ensuit. À la surprise générale, un héritier se présente, Jean Cadoret, un bossu qu’accompagnent sa femme et sa fille…
Commentaires (2)
Merci le confinement, j'en gardé pas un souvenir impérissable, mais le destin et les choix des acteurs principaux, montre bien la bétise ancestrale de l'humain, qu'il soit cultivé ou non.
Un grand classique 👍