A love story for everyone.
Tim et John se sont rencontrés adolescents et s'aiment depuis quinze ans. L'un est un acteur en herbe, l'autre est capitaine de l'équipe de football. Bien que leur amour ait pu surmonter toutes les difficultés, celui-ci est plus en danger que jamais.
Commentaires (4)
Moins judiciaire que Philadelphia, moins militant que 120 battements par minute, moins politique que The normal heart, moins cow-boy que Dallas buyers club ou Brokeback mountain, Holding the man est très dur émotionnellement car adapté d’une autobiographie éditée à titre posthume. L’auteur (Tim Conigrave) meurt 3 ans après son compagnon, tous deux des suites du SIDA. Le réalisateur a pris le parti d’une déconstruction temporelle qui permet de ne pas plonger dans un truc trop linéaire et romantique (on se rencontre, on s’aime et merde on tombe malade), là, le fait de s’affranchir de la chronologie, d’assumer le choix des mêmes acteurs à 16 et à 30 ans (effet « presque » comique), ça aide le spectateur à ne pas tomber dans le sentimentalisme ou le pathos. Les 45 dernières minutes sont éprouvantes.
Il est meilleur film ! Je suis au fond pleure
Très bon film quoiqu’un peu long et parfois un peu décousu.
Déchirant. On rit, on pleure - beaucoup. Il ne faut pas regarder ce film en espérant en ressortir tout heureux. Cela enseigne de belles leçons de vie, d'humanité et d'amour - dans un monde qui apprend progressivement tout cela autour de ce magnifique couple.